Page 22 - La Gatineau 28 Juin 2012

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La Gatineau - JEUDI 28 JUIN 2012
Deuxième exposition de voitures anciennes
RODRIGUE LAFRENIERE
DELEAGE - C’est pas moins de 50 véhi- cules anciens ou modifiés que s’attendent de recevoir les 20 pompiers de la munici- palité de Déléage, lors de la deuxième édi- tion de leur exposition, le samedi 7 juillet prochain, au parc municipal situé sur le boulevard Déléage.
Après avoir obtenu un succès encoura- geant lors de leur tout premier événement, les pompiers souhaitent en effet recevoir cette année au moins 50 de ces voitures qui attirent toujours l’attention des connais- seurs et du public en général, et rappellent le bon vieux Temps aux gens qui les ont un jour conduites.
Les propriétaires de ces belles et ces beaux d’autrefois (automobiles et camions, classiques ou modifiés) pourront s’inscrire au «Déléage Auto Show» dès 10h, alors que le public pourra entrer sur le terrain à partir de 11h.
Précisons que trois catégories d’expo- sants seront en fait soumises au vote du public visiteur. Il y aura d’abord un choix à faire parmi les voitures anciennes dites classiques, puis le coup de cœur sera noté quant aux voitures modifiées. Enfin les camions de type pick-up (classiques et neufs) seront jugés soit pour leur ancien- neté, soit pour leurs modifications.
Un premier club de propriétaires de ce genre d’autos s’est déjà engagé à participer. Il s’agit du club Camaro Firebird du Québec. Soulignons que plusieurs prix de participation seront attribués autant chez les participants que pour les visiteurs.
Pour l’achat d’un défibrillateur
Les exposants débourseront 25$ pour participer, pendant que le public visiteur paiera 5$. Les enfants de 12 ans et moins entreront gratuitement sur le parc qui peut avantageusement servir à des événements semblables.
Les deux organisateurs, Richard Lacourse (334-3089) et Alain Charrette
Les organisateurs Richard Lacourse (334-3089) et Alain Charrette (441-7171) lancent la deuxième édition de l’exposition de voitures anciennes et modifiées, le samedi 7 juillet prochain, au parc municipal de Déléage. C’est un événement qu’ils veulent rendre annuellement récurrent. En cas de pluie l’exposition serait remise au lendemain.
(441-7171), soulignent que les profits seront amassés dans le but de doter les pompiers d’un défibrillateur : cet appareil électrique servant à rétablir le rythme cardiaque nor- mal chez un patient atteint de fibrillation (contractions rapides et désordonnées des fibres musculaires du cœur).
«C’est donc pour une très bonne cause que nous lançons cette levée de fonds», de souligner les deux porte-parole du groupe d’organisateurs auquel s’adjoignent Mario Fortin, David Carle, Éric Guitard et Alain Martin.
On sait qu’une seule femme se joint à ce groupe de fiers combattants d’incendies à Déléage, et c’est Mélissa Miron, que certains visiteurs souhaiteraient voir dans son accoutrement de combattante...
Commanditaires et organismes présents
Sur place, on pourra voir les «gens de l’ASO» qui utiliseront leurs pinces de dé- sincarcération, en plus de rencontrer des représentants de Paramédic Outaouais. La
Sûreté du Québec a bien voulu participer: elle y tiendra un kiosque dans lequel elle démontrera les effets de la boisson sur la conduite automobile. Ce sera, selon toute vraisemblance, révélateur du grand danger d’accidents que représente le tandem «boire et conduire».
Plusieurs commanditaires appuient l’or- ganisation des pompiers de Déléage. On aura la possibilité d’en trouver sur place, par exemple UAP avec trois kiosques, McConnery (deux kiosques). Dans cer- taines conditions, on pourra se prévaloir d’un 10% sur du matériel en magasin.
Pour le plaisir des enfants (et peut-être pour de plus grands enfants...), des ma- quilleuses seront au travail en collabora- tion et animation avec la maison de la Famille, le tout entre 11h et 14h. Le club Optimiste sera aussi de la fête avec hot- dogs et breuvage. Toute entrée sur le ter- rain de boissons ou de vivres est logique- ment interdite, puisqu’il s’agit de levées de fonds.
Les organisateurs dévoilent, pour piquer la curiosité, qu’une surprise attend les visi- teurs, en collaboration avec l’ASO (Association de Sauvetage de l’Outaouais), les pompiers de Déléage et Paramedic Outaouais. «Et c’est à voir», dit-on.
Pour en connaître sur cette deuxième édition qui s’oriente sans doute vers un événement local et régional récurrent, on peut aller consulter le site Internet monté par Martin Lanthier, (www.deleageautos- how.com). Précisons qu’en cas de pluie, l’événement sera remis au lendemain.
Une aide financière au chemin Lépine- Clova
LA GATINEAU – En vertu d’un protocole d’entente intervenu entre le Regroupement des utilisateurs du chemin Lépine-Clova et la MRC-VG, le conseil régional des maires a résolu de verser 37 050,07 $ en guise de participation annuelle pour l’entretien de ce chemin très fréquenté par les touristes de partout au Québec.
Les maires de la région sont conscients de cet axe touristique et il est important, selon eux, de maintenir le chemin en bon état. En 2009, on évaluait qu’un budget de 2,7 millions $ était requis pour normaliser l’entretien du chemin.
La perte d’un enfant Le deuil de l’avenir
CHRONIQUE
« La mort des parents, c’est la mort du passé. La mort d’un enfant, c’est la mort de l’avenir » - (Dr Eliot Lub).
Le décès d’un enfant constitue certes la pire douleur qu’un parent puisse imaginer. Dans le cours normal des choses, le parent meurt avant son enfant. Plus l’enfant est jeune, plus son décès prend Ia forme d’une tragédie inexplicable et tellement, tellement injuste.
Étant responsable de la protection de leur enfant, la plupart des parents touchés par cette épreuve, portent en eux, à la suite de son décès, un sentiment de culpabilité énorme.
La plupart des parents voient à travers leur enfant le prolongement d’eux-mêmes. Avec l’enfant disparaissent alors leurs espoirs et leur aspirations, leurs désirs de continuité. Le décès d’un enfant emporte avec lui une partie des parents, une partie très intime.
Il est très difficile pour un couple de rester uni durant la période du deuil de leur enfant. D’une part, il arrive que l’un des conjoints en vienne à blâmer l’autre du décès de l’enfant. Même si ce n’est pas toujours exprimé en mots et que cela soit souvent inconscient, cet état de faits rend difficile la cohabitation dans le respect.
D’autre part, les deux parents ne souffrent pas toujours en même temps. Lorsque des parents remonte légèrement la pente, l’autre est dans une période de détresse : cela donnera l’impression de vivre continuellement dans la douleur. Il n’est pas rare que les conjoints en viennent alors à s’éviter.
La plupart des couples éprouvent des difficultés à vivre ensemble cette souffrance infinie. D’où l’importance pour les parents en deuil de communiquer entre eux et parfois même de consulter un groupe de soutien ou un professionnel.
S’il y a d’autres enfants dans la famille, il importe aussi de ne pas les oublier. Ils se sentent probablement coupables et vivent difficilement cette perte. Il faut aussi éviter de comparer les enfants qui restent au disparu ; ils pourraient en venir à regretter d’être en vie.
De façon réaliste, il est très difficile pour un parent en deuil de son enfant de traverser seul cette épreuve. Il est très important de s’entourer de
gens de confiance et de ne pas hésiter à consulter une personne-
ressource appropriée.
Avis de décès
Larivière, Daniel (1961-2012)
À Maniwaki, le 26
juin 2012 dernier, est
décédé à l’âge de 50
ans, Monsieur Daniel
Larivière, originaire
de Bouchette. Il
laisse dans le deuil
son fils, qu’il aimait
tant Gabriel (Angie),
ses parents: Noel Lariviere et Gisèle Major, ses sœurs et frère, feu Claude, sa sœur Christiane (Sylvon), sa sœur Sandra (Feu Jean-Marc), ses oncles et tantes, ses neveux et nièces, cousins, cousines ainsi que plusieurs amis (es).
À la demande de la famille, des dons à la Société Canadienne du Cancer en sa mémoire seraient appréciés. (formulaires disponibles à la Coopérative Funéraire Brunet).
Coopérative funéraire Brunet
«Nous sommes riches de nos valeurs...»
Deuil-entraide: http//lagentiane.org