Page 36 - La Gatineau 15 mars 2012
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36 La Gatineau - JEUDI 15 MARS 2012
C’est la Semaine nationale de la sécurité agricole
LA GATINEAU – La Semaine nationale de sécurité agricole a débuté le 14 mars et se poursuit jusqu’au 20 mars et une fois de plus, le Conseil canadien de la sécurité encourage toutes les familles d’agriculteurs à assurer la sécurité de leurs enfants à la ferme.
L’agriculture est une des industries les plus dangereuses et les enfants se trouvent souvent sur ce lieu de travail où ils côtoient de l’équipement lourd, des produits chimiques, du bétail et bien
d’autres dangers. Trop souvent, les enfants circulent partout sur la ferme et la consi- dèrent comme un vaste terrain de jeu. Ils doivent apprendre que la ferme comporte des dangers et il faut donc prendre des mesures pour les tenir à distance de ces dangers.
Selon le Programme de surveillance des blessures dans le secteur agricole au Canada, 217 jeunes de 14 ans ou moins ont trouvé la mort dans les fermes au Canada entre 1990 et 2005. Environ 45 % d’entre
eux avaient moins de 5 ans. Les écrase- ments et les noyades sont les principales causes de décès chez les enfants. L’écrasement par une machine est la cause de 42 % des décès ; viennent ensuite les noyades, 15 % , les renversements de ma- chines, 11 % , les blessures par des ani- maux, 7 % et le fait de se retrouver coincé dans un objet qui n’est pas une machine ou sous cet objet, 5 %.
Le meilleur moyen de garder les enfants à l’abri des dangers consiste à aménager
une aire de jeu à la ferme. Installez une clôture autour de cette aire de jeu et mu- nissez-la d’une fermeture à blocage auto- matique installée en hauteur, hors de por- tée des jeunes enfants. En limitant les aires de jeu des enfants à un endroit précis, vous agrandissez la zone de sécurité et réduisez l’exposition des enfants aux dangers.
Pour plus de renseignements sur cette semaine, veuillez communiquer avec M. Raynald Marchand au 613-739-1535, pste 226.
Solidarité rurale arrive en Outaouais
Thibault
LA GATINEAU – Dans la foulée de l’échéance de la Politique nationale de la ruralité, annoncée en 2014, Solidarité ru- rale du Québec part à la rencontre des communautés rurales afin d’entendre les ruraux sur leurs attentes concernant la prochaine phase de développement du Québec rural.
L’organisme tiendra deux soirées de consultation en Outaouais le 28 mars pro- chain au Centre communautaire Wakefield-La Pêche de Wakefield pour rencontrer les citoyens de la MRC des Collines-de-l’Outaouais, de la Vallée-de- la-Gatineau et de Pontiac à compter de 14h.
Ces rencontres marqueront la fin de la tournée de consultation de Solidarité
rurale qui aura alors tenu 31 soirées de consultation partout au Québec. La Politique nationale de la ruralité a été mise en place en 2002 et elle fut renouvelée en 2007. Elle a pour objectif de stimuler la vitalité des milieux en favorisant la prise en charge locale du développement, en misant sur une vision territoriale, la mobilisation des citoyens et sur une responsabilisation des milieux concernant l’utilisation des ressources. Elle met donc à la disposition des communautés un réseau de 136 agents de développement rural chargés de mobi- liser les milieux et de les accompagner, ainsi que les pactes ruraux, des enveloppes destinées à supporter des projets de développement.
Les entreprises d’électricité
Depuis1987
Cell.: (819) 449-8465
Rés.: (819) 449-2014
116, Notre-Dame, Maniwaki Fax : 449-6621
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Les cours pourraient être prolongés
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LICENCE R.B.Q. : 2432-8262-10
Thibault
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Maurice St-Amour, maître électricien Tél.: (819) 449-2866
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L’autisme
L’autisme est classé comme étant un trouble envahissant du développement et défini par la Fédération québécoise de l’autisme comme « un désordre d’origine neurologique caractérisé par une distorsion du développement global de la personne dans l’ensemble de ses sphères de fonctionnement ».
On estime que 1 à 3 enfants sur 1000 seraient atteints d’autisme, le trouble
touchant en grande majorité les garçons dans une proportion de 4 à 5
garçons pour 1 fille. La maladie touche trois aspects du développement,
soit les interactions sociales, la communication verbale et non verbale, et les intérêts et les comportements restreints, répétitifs ou stéréotypés. L’autisme apparaît généralement avant l’âge de 3 ans, et demeure présent pour la vie.
Les symptômes de l’autisme varient d’une personne à l’autre, et peuvent être d’intensité faible à élevée. La fuite du regard, le mutisme, la tendance au repli sur soi, la difficulté à établir des relations avec l’entourage, un retard ou une absence du développement du langage ainsi que les intérêts restreints et obsessionnels sont autant d’exemples de symptômes que peuvent manifester les autistes. Le trouble autistique s’accompagne parfois d’un retard mental.
Encore aujourd’hui, on ne sait pas ce qui déclenche l’autisme. Les chercheurs penchent pour l’explication héréditaire, mais on soupçonne l’interaction d’une multitude de facteurs. Dans les années 1990, on a pensé que le vaccin donné à 1 an pour la rougeole, la rubéole et les oreillons (RRO) pourrait avoir un lien avec l’apparition de l’autisme. Toutefois, une étude commandée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a contredit complètement cette hypothèse : à ce jour, il n’y a aucune preuve quant à une association de cause à effet entre le vaccin RRO et l’apparition de l’autisme.
Bien qu’il n’existe aucun traitement pour l’autisme, il est néanmoins possible d’intervenir dès l’enfance afin d’améliorer l’état des personnes affectées. En fait, des programmes d’intervention sur mesure peuvent être appliqués de manière personnalisée. Ces derniers ont pour but de permettre à l’enfant de réaliser son plein potentiel et de diminuer l’intensité de ses symptômes. Ces programmes sont cependant plus efficaces s’ils sont introduits le plus tôt possible dans la vie de l’enfant.
Pour plus d’information, venez nous rencontrer!
LA GATINEAU – La session d’études pourrait être prolongée au Cégep de l’Ou- taouais si l’institution devait suspendre des cours à cause de l’affrontement entre les étudiants et le gouvernement du Québec concernant la hausse des frais de scolarité.
Le Cégep a suspendu les cours mardi dernier alors qu’il a constaté qu’une mani- festation des étudiants était prévue. Le Règlement sur le régime des études collé- giales oblige les collèges à donner à ses étu- diants 82 jours de cours et d’avaluation à la session d’hiver 2012. Dépendamment du nombre de jours de débrayage étudiant, la session sera prolongée au-delà du 25 mai. Les dirigeants espèrent que les étudiants exerceront leur droit démocratique de fa- çon pacifique, sans affecter le climat de respect et d’intégrité de tous les membres de la communauté collégiale. La Direction est en communication constante avec l’As- sociation étudiante afin de voir à l’évolu- tion du dossier.
Félicitation à Rosemarie Lefebvre- Bastien, qui fait maintenant partie de l’ordre des notaires du Québec. Beaucoup de succès dans ta profession de notaire. Bravo pour ton acharnement à ta réussite!
Tes parents qui sont fiers de toi, Anna et Jacques xxoo
La Vallée de l’art de vivre
Au MARTEL
ET FILS
La construction, on connaît ça!