Page 14 - La Gatineau 17 Mai 2012

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La Gatineau - JEUDI 17 MAI 2012
La Gatineau publie le plus volumineux cahier spécial
JEAN LACAILLE
MANIWAKI – La Gatineau publie au- jourd’hui, jeudi, un cahier spécial sur les at- traits de la Vallée-de-la-Gatineau. Ses 112 pages, avec un tirage de 140 000 copies, en font le cahier spécial le plus volumineux de l’entreprise d’édition dans la région.
«Nous l’avons reçu vendredi dernier et il est très beau. Nous en sommes très fiers. Il est publié à raison de 140 000 exemplaires dans le grand Gatineau (Hull) et dans toute la Vallée-de-la-Gatineau. Il a été imprimé chez Trans-Mag, une imprimerie du groupe Transcontinental. Tout en couleurs, le cahier se veut un outil de plus afin d’aider notre industrie touristique, faire connaître notre région dont le potentiel n’a pas de limites», indique la directrice du journal La Gatineau, Mme Denise Carrière. «Mais, ce qui est le plus impressionnant, c’est la collaboration extraordinaire que nous avons reçue des or- ganismes impliqués de près ou de loin dans le développement touristique. Ça n’aurait pas été possible sans l’apport de tous ces gens, et je tiens à souligner cet effort communautaire extraordinaire.»
Rencontre de la communauté d’affaires
Les dirigeants de La Gatineau ont convo- qué la communauté d’affaires à un 5 à 7 le mercredi 18 avril dernier à l’Auberge du Draveur à Maniwaki. Une quarantaine de personnes du monde des affaires et de la poli- tique y ont assisté. L’activité était animée par M. Pierre Vallée, directeur du marketing au journal La Gatineau qui, tout en souhaitant
«Notre région est tellement
belle qu’il est facile de la pro-
mouvoir. Au départ, nous
avions prévu un cahier de 48
pages mais plus nous avan-
cions dans le projet, plus les
annonceurs manifestaient
leur volonté d’y participer.
Nous avons donc convenu
d’un 60 pages, puis d’un 80,
pour finalement nous arrêter
à 112, à huit pages du maxi-
mum que nous pouvions
imprimer. Je tiens à préciser
l’excellent travail d’équipe
qui a mené à la production
de ce cahier. Les membres
de l’équipe se sont surpassés. Je crois ferme- ment que nos annonceurs et lecteurs seront fiers, comme nous le sommes, de ce beau produit qui se veut essentiellement un outil de promotion pour notre belle région.»
Le député Mathieu Ravignat qui a visité les nouvelles installations de La Gatineau peu avant le 5 à 7 s’est montré étonné par l’am- pleur du projet. «Cela prouve, hors de tout doute, qu’il est possible de réaliser d’impo- sants projets en région rurale. Je me suis laissé dire qu’il s’agissait du cahier le plus volumineux à ne jamais avoir été publié dans la région. C’est tout à l’honneur de l’équipe de Mme Denise Carrière que je félicite pour ce beau projet.»
Le préfet, Pierre Rondeau, a insisté sur l’importance de promouvoir l’industrie tou- ristique dans la Vallée-de-la-Gatineau. «Le cahier spécial de La Gatineau, avec son ti- rage de 140 000 copies, permettra d’atteindre
des milliers de personnes tant en zone urbaine que rurale. Tous les moyens sont bons pour van- ter notre belle région. Je féli- cite l’équipe de La Gatineau pour ce beau projet.»
Pierre Vallée,
Le député néo-démo- directeur du crate de Pontiac, M. marketing à La
de son histoire
Découvrez les secrets de la Vallée-de-la-Gatineau
Mme Denise Carrière, directrice du journal La Gatineau.
Mathieu Ravignat.
Gatineau, s’était
«La région traverse actuellement une pé- riode difficile. Nous avons voulu, avec la réa- lisation de ce projet, mousser notre belle région et je tiens à remercier tous les organismes et leurs représentants pour leur collaboration exceptionnelle à ce cahier spécial. La Vallée-de-la- Gatineau a une fa- çon de vivre qui lui préfetdelaMRCde estunique.Sonart
la Vallée-de- de vivre est la-Gatineau.
la bienvenue aux invités, a invité quelques personnes concernées par le projet d’édi- tion à prendre la parole.
Mme Denise Carrière, direc- trice de La Gatineau, n’a pas caché sa
fierté de publier un cahier de cette envergure.
fixé comme objectif de rejoindre le maxi- mum de participants pour ce projet. «La ré- ponse des commerçants ne s’est pas faite at- tendre. Nous avons été dans l’obligation de réviser nos objectifs à quelques reprises de- vant l’intérêt manifesté à notre projet. Nous avons nettement l’impression de marquer l’histoire de notre journal par la publication de ce beau cahier, qui, nous l’espérons, plaie- ra à nos annonceurs et lecteurs et qu’il de- viendra un instrument de promotion pour notre région.»
L’équipe de rédaction
La directrice, Denise Carrière, afin d’of- frir un produit de qualité, désirait que les reportages publiés dans le cahier soient variés et touchent plusieurs sujets afin d’en faire un cahier original et intéressant pour les lec- teurs. Plusieurs rédacteurs de la région ont été invités à y participer dont Michel Gauthier, Georges Lafontaine et Pascal Chaussé, deux auteurs val-gatinois, Jannick Larivière, Kathia Trottier, Rodrigue Lafrenière, François Ledoux, Louis-André Hubert, Stéphane Granat, Denise Carrière, Sylvie Dejouy et Jean Lacaille.
exceptionnel. Et le tourisme est une grande richesse pour la Vallée-de-la-Gatineau. Je veux également souligner les 12 pages inté- grées au cahier sous le thème «Viens faire un tour !» Les gens qui viendront chez nous vou- dront y revenir. Nous habitons la plus belle région qui soit et nous invitons le plus de gens de possible à découvrir ses innombrables secrets.»
Plusieurs personnes ont assisté au 5 à 7 dont les conseillers de la Ville de Maniwaki MM. Bruno Robitaille, Jacques Cadieux et Rémi Fortin, le maire de Gracefield, M. Réal Rochon, Mmes Christiane Carle, Philippe Charron, Patrice Lacroix et Nathalie Major de la Caisse populaire Desjardins de la Haute-Gatineau, M. Mario Beaumont de la Caisse populaire Desjardins de Gracefield, M. Denis Bohomme, président de la Chambre de commerce et d’industrie de Maniwaki, M. Marc Dupuis, directeur géné- ral du Centre local de développement de la Vallée-de-la-Gatineau, M. François Ledoux, directeur du Centre d’interprétation de la protection des forêts contre le feu de Maniwaki, M. Harold Sylvain, directeur général de la Commission scolaire des Hauts- Bois-de-l’Outaouais, M. Serge Lacourcière, directeur du Centre de formation profession- nelle de la Vallée-de-la-Gatineau, Mme Marlène Thonnard, directrice du Pôle d’ex- cellence en récréo-tourisme et Mmes Lise Morissette et Gisèle Danis de CHGA-FM.
Les invités ont pu déguster un buffet, gar- ni de mets algonquins, préparés par le Traiteur Wawatay de la jeune et sympathique propriétaire, Mme Marie-Cécile Nottaway.
Mme Marie-Cécile Nottaway et une de ses collègues de Traiteur Wawatay, ont servi de délicieux mets algonquins.
M. Pierre Vallée, directeur du marketing à La Gatineau, animait le 5 à 7.
L’ensemble des gens qui ont accepté l’invitation de paticiper au 5 à 7 du 18 avril dernier à l’Auberge du Draveur. Des personnes toutes très impliquées dans le développement de la région.
Nous n’avons pas assez de médecins, de dentistes, de chirurgiens, de cliniciens, donc nous en importons. Merci de venir prendre soin de notre santé.
Nous n’avons pas assez d’ingénieurs ci- vils, d’ingénieurs miniers pour le Plan, nous en importerons. Merci de venir répertorier nos richesses minières.
Nous n’avons pas assez de physiciens, de chimistes, de géographes, de botanistes, de naturalistes, de géomètres, d’environnemen- talistes. Nous n’avons pas assez de capitaux, donc, nous recherchons des investisseurs aux USA, en Europe, en Australie.
Nous leur offrons le crémage sur le gâ- teau. Nous n’avons pas assez de vétérinaires et d’agronomes, donc nous vendons nos terres ou nous les abandonnons.
Nous n’avons pas assez de vision, donc, nous rendons l’éducation supérieure inacces- sible aux enfants pauvres, aux enfants des régions, inaccesssible aux enfants doués, inaccessible à nos enfants. Nés pour des
petits pains ! Porteurs d’eau de grand-père en père, de père en fils, de chantier en chantier.
Rendons l’éducation supérieure gratuite d’un bout à l’autre. Offrons aux plus doués un salaire pendant leurs études pour qu’ils puissent s’y consacrer à 100 %, question de nous assurer, collectivement, le développe- ment de ces ressoruces humaines, d’abord, et un bien-être collectif, contrôlé par nous et pour nous.
Mais où se trouve les argents, les évasions fiscales, les caisses populaires, les banques, les paradis fiscaux, les redevances... Voyez les salaires payés aux cadres ! Voyez les pro- fits distribués aux actionnaires ! Voyez ces bonis distribués aux gestionnaires ! Voyez les primes...
On a bien nationalisé l’électricité malgré les grincements. Le savoir, c’est notre avenir, notre richesse, notre liberté ! Nos enfants aussi !
Bruno Billard
Mon carré rouge
M. Pierre Rondeau,
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