Page 33 - La Gatineau 28 Février 2013
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MANIWAKI – L’équipe Maniwaki Mohquins a remporté le tournoi de hockey, samedi 16 fevrier à Low.
Le tournoi a rassemblé six équipes, prove- nant de Maniwaki, Low, Masham, Chelsea, et Ottawa. Les Maniwaki Mohquins ont remporté toutes leurs parties.
Sur la photo : rangée du haut de gauche à
droite, Julianne Dumont, Alison Commando, Sarah Gosselin, Laura Monette, Kahs Montour, Elise Ahern-Davy ; rangée du bas, Samantha Tenasco, Martine Lafreniere, Karelle Vachon, Ann Marie Mantha, Iako Diabo, Alison Kelly, Shayla Kelly.
Goaler : Amanda Barbier.
JEUDI 28 FÉVRIER 2013 - La Gatineau 33
Bravo aux joueuses de Maniwaki Mohquins
Les karatékas en mettent plein la vue
GRACEFIELD - Samedi 16 février, les élèves de sensei Stéphane Lachapelle ont pris part au quinzième championnat de karaté de Gracefield. Au total, 148 compé- titeurs s’étaient donnés rendez-vous afin de tenter de remporter les honneurs en com- bat, en kata et en kata armé.
«Ce tournoi a été un vif succès et ce grâce à l’implication continuelle de fidèles commanditaires», commente Stéphane Lachapelle.
Voici les gagnants (sur la photo) : Ron Rice, Chantal Danis, Gina Guy, Joanne Lafrenière, Jade Parker, Annie Gauthier, Alexandre Audet, Daniel Caron, Caroline Boily, Antoine, St-Amour, Zachary Pétrin, Amélie Caron, Jimmy Robidoux, Stefan Iftémie, Martine Gravelle, Jaylin Sauvé , Daniel Richer, Daniel St-Amour, Jonathan Dumais, Yan Lefebvre, Valentina Iftémie, Emy Pelletier, Téodor Iftémie, Daphné Rice-Bellefleur, Jordan Lafrenière, Maude Gauthier et Ariane Décarie. (Absents sur la photo: Pascale Coggins, Simon Séguin, France Éthier, Lydia Lachapelle et Martin Gauthier, Maxime Gauthier).
Félicitations aux élèves de karaté Chito Kan, pour leurs belles performances durant la compétition à Gracefield le 16 février. Sur la photo : Renshi Mike McConnery avec ses élèves Francisca Durenleau Lapointe, Kristel Galipeau, Raphaël Galipeau et Michel Taillon.
Comprendre le deuil de l’autre
CHRONIQUE
Un membre de votre entourage est en deuil ; vous voulez l’aider mais ne savez pas trop comment y arriver. Ne laissez pas le malaise vous tenir à l’écart d’une personne qui a besoin de vous.
N’hésitez pas à lui dire que vous compatissez et, surtout, écoutez. Il est important que l’endeuillé puisse parler de la personne décédée aussi longtemps et aussi souvent qu’elle en éprouve le besoin. Si vous connaissiez la personne décédée, n’hésitez surtout pas à partager vos souvenirs positifs de cette relation, à mentionner les qualités humaines du défunt.
Vous aiderez une personne en deuil en accomplissant pour elle certaines tâches ménagères, en vous occupant de ses enfants, en lui permettant d’avoir davantage de temps pour prendre soin d’elle-même. Laissez-la exprimer ses besoins et restez à l’écoute de ceux qu’elle n’exprime pas. Peut-être est-elle mal à l’aise de vous demander certains services.
On doit s’abstenir de dire certaines choses à une personne qui vit un deuil. De même, il est préférable d’éviter de poser certaines actions. Ne dites pas à une personne en deuil que vous comprenez sa souffrance – à moins, bien sûr, d’avoir traversé la même épreuve.
Ne tentez pas de lui faire oublier sa souffrance en lui désignant tout ce qui lui reste encore dans la vie. Elle le découvrira elle-même le moment venu, lorsque le deuil sera accompli. N’essayez pas de lui souligner qu’une vie nouvelle s’annonce : le moment n’est peut-être pas encore venu pour la personne en deuil d’envisager l’avenir avec confiance. Ne vous inquiétez pas, cela viendra en son temps.
Les événements qui entourent un décès sont souvent difficiles à traverser. Ne faites pas de remarques désobligeantes sur le protocole et les rites funéraires choisis : cela pourrait ajouter au sentiment de culpabilité que ressent peut-être la personne endeuillée.
Il est bon d’éviter la confrontation, la provocation et l’agressivité. La personne en deuil n’a pas besoin d’être brutalement « ramenée « sur terre.
Laissez le chagrin faire son temps, laissez-la parler sans l’interrompre et évitez certaines phrases toutes faites du genre :
« tu es jeune, tu peux encore refaire ta vie « ;
« arrête de pleurer, tu te détruiras « ;
« pense à autre chose, ça va passer «...
Il est bon de se rappeler que toutes les actions aidantes doivent être effectuées dans une attitude de respect de soi-même, de ses limites face à la souffrance de l’autre. Si vous vous sentez dépassé par la douleur d’un proche et êtes incapable de l’aider, n’hésitez pas à demander l’aide d’un professionnel.
Il est parfois difficile, lorsqu’on est impliqué dans un deuil, d’aider une personne qui souffre de la même perte que nous : vous pouvez vous adresser à des groupes de soutien et d’entraide. Parce qu’il n’est pas pris dans la peine, un inconnu peut être une oreille d’un grand secours.
Ne vous dévalorisez pas lorsque vous accompagnez moralement quelqu’un qui vit un deuil ; ne vous dites pas que vos interventions ne sont pas appropriées et que vous ne trouvez pas les bons mots. Si vous faites preuve d’authenticité, vous ne pourrez que lui apporter de l’aide.
Nicole Nault, conseillère
Bravo à Jacob Morin
MANIWAKI – Lors du Tournoi optimiste Logue memorial a été remis au jeune Jacob qui se tenait du 14 au 17 février, le James Morin.


































































































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