Page 4 - La Gatineau 3 octobre 2013

4 3 octobre 2013 La Gatineau ENFANT-RETOUR QUÉBEC
Clinique d’identification des enfants
MANIWAKI - Chaque année, l’organisme Enfant-Retour Québec organise des cliniques d’identification des enfants à travers le Québec. En collaboration avec la succursale Jean Coutu de Maniwaki, cette clinique a eu lieu dans larégiondimanchele29septembredernier.
Plusieurs parents ont amené leurs enfants pour faire remplir leur carnet d’identité, qui contient des informations comme la taille de l’enfant, son poids, des renseignements médicaux, etc. De même que sa photo et ses empreintes digitales, prises par les policiers de la Sûreté du Québec.
DÉLIT DE FUITE
Le conducteur
recherché
MANIWAKI - Une jeune femme a été victime d’un délit de fuite, dans la nuit de vendredi à samedi. Elle marchait le long du boulevard Desjardins quand elle a été happée par une camionnette noire, vers 3h45.
La jeune femme a été transportée à l’hôpital. Elle s’en sort avec des blessures mineures.
Les agents de la Sûreté du Québec sont toujours à la recherche du fuyard.
La Gatineau
135-B, route 105, Maniwaki Maniwaki (Québec) J9E 3A9 Tél.: 819-449-1725
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Rédaction : redaction@lagatineau.com Sylvie Dejouy, directrice de l’information Janique Robitaille, journaliste
Rodrigue Lafrenière, pigiste
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Comptabilité, encartage, distribution :
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Direction: direction@lagatineau.com André Benoît
Heures d’ouverture :
Du lundi au vendredi de 8h30 à 16h30. Heure de tombée : Le mardi à 12h.
Votre journal local est la propriété d’un groupe d’actionnaires de la région. Il est produit par une équipe de professionnels qui mettent tout en oeuvre pour vous servir adéquatement.
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Publié le jeudi, et monté dans nos ateliers par Les Éditions La Gatineau Ltée, 135-B, route 105, Maniwaki
Imprimé à l’Imprimerie Qualimax
130, Adrien-Robert, Gatineau (Québec)
Courrier de deuxième classe, enregistrement n° 0535 Dépôt légal : Bibliothèque Nationale du Québec. Tirage : 11 300 copies.
Représentation nationale :
Montréal : 514-866-3131 Toronto : 416-362-4488
«Nous avons des outils pour nous aider à retrouver des enfants disparus, souligne M. Robert Chalifoux, sergent de la SQ. Les alertes Amber sont efficaces, l’implication des gens aussi, c’est très important. L’identification des enfants est un outil de plus. On a une fiche signalétique, une photo, mais aussi les empreintes digitales. Tout ça peut être envoyé rapidement partout au Canada et à l’international.»
Selon Enfant-Retour Québec qui rapporte des statistiques du Centre d’information de la police canadienne (CIPC), 5 545 enfants ont été portés disparus au Québec en 2012. Sur ce nombre 3 570 sont des fugues. 65 % des signalements d’enfants sont supprimés dans les 24 heures et 80 % dans la semaine.
M. Jean-Sébastien Loyer, parent d’un garçon de six ans et d’un nouveau-né d’un mois a déclaré s’y rendre pour la prévention. «C’est la deuxième année que nous venons pour Félix et bien sûr, la première fois pour elle, qui a juste un mois.» Il est conseillé de mettre à jour les informations du carnet d’identité de l’enfant à mesure qu’il grandit. Pour sa part, Mme Marie-Claude Rousseau, en plus du carnet d’identité pour son fils, est venue chercher à la clinique «de l’information sur les mesures de sécurité. Je me posais beaucoup de questions sur les bancs d’auto».
Lors de l’événement, la Sûreté du Québec, la police de Kitigan Zibi Anishinabeg, l’ASO, les services de pompiers et d’ambulanciers de Maniwaki, étaient présents avec leurs véhicules respectifs, au grand plaisir des enfants, qui pouvaient monter à bord. Des représentants de la Maison de la famille étaient également présents.
Janique Robitaille
▲ Jean-Sébastien Loyer et Cindy Turpin avec leurs enfants.
▲ Le caporal Justin Petonoquot, police de Kitigan Zibi Anishinabeg, Marie-Claude Rousseau avec son fils Étienne Lacaille et le sergent Robert Chalifoux, Sûreté du Québec.
SEMAINE CONTRE L’INTIMIDATION
La Sûreté du Québec participe
LA GATINEAU - Afin de souligner la Semaine contre l’intimidation et la violence, qui se tenait du 30 septembre au 4 octobre, la Sûreté du Québec a lancé une campagne de prévention en collaboration avec le Centre canadien de la protection de l’enfance (CCPE).
Cette campagne vise à sensibiliser les jeunes et leurs parents à l’intimidation et à leur fournir de l’information sur les nouveaux phénomènes reliés aux technologies numériques tels que la cyberintimidation.
Courrier du lecteur
Des policiers de la Sûreté du Québec se sont rendus dans les écoles primaires et secondaires pour rencontrer les élèves et leurs parents, échanger avec eux sur le phénomène de l’intimidation et leur remettre de la documentation.
De plus, la Sûreté profite de l’occasion pour lancer officiellement sur l’ensemble de son territoire le programme «UNITÉ sans violence, Exprimez-vous!». Ce programme a pour objectif d’encourager les jeunes à adopter
des comportements non violents et à s’exprimer lorsqu’ils sont témoins ou victimes de violence.
L’Unité sans violence est constituée des élèves de 5e et 6e année. Cette année, ce sont 55 écoles primaires sur le territoire de la Sûreté qui implanteront ce programme.
Pour plus d’informations sur l’intimidation et la cyberintimidation, le public est invité à visiter le site web de la Sûreté du Québec, au www.sq.gouv.qc.ca
qui ne mangent pas dans la main du maire Rochon. Donc chers citoyens de la ville de Gracefield et des secteurs Northfield et Wright, seuls nous les contribuables pou- vons faire le changement à la prochaine élection de novembre.
Depuis 2009, la Ville de Gracefield a-t-elle avancé ?
Pierre Blais, un contribuable.
Élections à Gracefield
Nous savons tous que des élections muni- cipales auront lieu en novembre 2013 et que nous aurons à voter pour des conseil- lers et un maire. Un article publié le 2 novembre 2009 dans le journal La Gatineau mentionnait : «Le maire Réal Rochon a le champ libre à Gracefield».
Nous sommes rendus en 2013. Nous avons fait le suivi de notre maire Réal Rochon depuis 2009 et de ses conseillers qui
mangent dans ses mains : Bernard Caron, Jocelyne Johnson, Daniel Luc Tremblay et Éric Éthier, qui en passant n’est jamais au conseil.
La Ville de Gracefield est sale, la rue prin- cipale toute défaite, les secteurs de Northfield et Wright pas mieux. Ils ont besoin de beaucoup d’améliorations.
Juste deux conseillers travaillent pour notre ville : Claude Blais et Mickel Gainsford