Page 5 - La Gatineau 1 janvier 2015

La Gatineau 1er janvier 2015 5
INTRONISATION DU CLUB OPTIMISTE DE DÉLÉAGE Nouveau départ après deux ans d’absence
FRANÇOIS ROBERT
frobert@lagatineau.com
DÉLÉAGE - Deux ans après avoir dis- paru, le Club Optimiste de Déléage a connu un nouveau départ lors d’une céré- monie d’intronisation le 21 décembre à l’édifice Palma-Morin en présence notam- ment du lieutenant-gouverneur de la zone 8, Jean-Pierre Lalonde, et sous le parrai- nage du Club optimiste de Maniwaki et son président, Claude Miner.
«Tous les 15 qui ont signé pour être dans le Club Optimiste deviennent les membres fondateurs, a expliqué la nouvelle prési- dente Marie-France Guy. S’il y a des membres qui s’ajoutent, ce seront des membres, mais nous sommes les membres fondateurs.»
La nouvelle secrétaire trésorière est Johanne Céré et les deux vice-présidentes sont Marianne Plouffe et Jeanne Labelle.
Du côté des directrices, on retrouvera Charlyse Guilbault, Henriette Aumond et Lyse Courville.
«Il y aura aussi des membres hommes, mais ceux présents lors de la cérémonie font aussi partie du conseil d’administra- tion de la municipalité et pour ne pas entrer en conflit d’intérêts, ils ont préféré ne pas faire partie du CA du Club Optimiste», a précisé la nouvelle présidente.
La première réunion officielle après l’intronisation aura lieu en janvier et c’est à ce moment que seront déterminées les activités à venir, a indiqué Mme Guy.
▲ Grand jour d’intronisation du nouveau Club Optimiste de Déléage le 21 décembre à l’édifice Palma-Morin avec au centre en bleu, la nouvelle présidente Marie-France Guy.
RÔLES D’ÉVALUATION MODERNISÉS Demande de reculer l’échéancier
LA GATINEAU - Durant la dernière réunion du conseil des maires de la MRC, les élus ont adopté une résolution afin d’appuyer une résolution de la MRC de Témiscamingue afin de demander au MAMOT (Ministère des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire) de repousser l’échéancier du dépôt des rôles d’évaluation modernisés du 15 septembre 2015 à au moins le 15 septembre 2018.
Outre la préoccupation de l’échéancier, s’y ajoute une autre qui concerne le coût de l’implantation de la modernisation de l’évaluation foncière. Comme l’a expliqué
le maire de Maniwaki, Robert Coulombe, ce coût serait très élevé et aucune municipalité ne serait en mesure de le supporter.