Page 18 - La Gatineau 12 octobre 2017
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18 12 octobre 2017 La Gatineau
Encore    de nouvelles !
LA GATINEAU – À l’occasion de l’assemblée générale des personnes déléguées du Syndicat du personnel de l’enseignement des Hautes- Rivières (SPEHR), près de soixante membres représentant tous les secteurs d’enseignement se sont réunis à l’Auberge du Draveur de Maniwaki. Le président du SPEHR, Daniel Boisjoli, a profité de l’occasion pour souligner la Journée mondiale des enseignantes et enseignants. Il a tenu à rappeler l’importance du personnel enseignant dans la formation de citoyens responsables et engagés.
Dans cette optique, les personnes déléguées ont entériné le plan d’action triennal ainsi que les actions prioritaires du syndicat pour l’année scolaire 2017-2018 dont : la valorisation de la profession
enseignante, la défense de l’autonomie professionnelle ainsi que la négociation d’une entente locale avec la Commission scolaire des Hauts-Bois-de-l’Outaouais (CSHBO).
Pour conclure la rencontre, Mélanie Baril, avocate et conseillère à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ ), a donné une conférence sur des sujets d’actualité en éducation. Celle-ci a traité de la santé mentale au travail, notamment sur la prévention de l’épuisement professionnel.
Le Syndicat du personnel de l’enseignement des Hautes-Rivières (CSQ-FSE) représente environ 1 300 enseignantes et enseignants des commissions scolaires des Hauts- Bois-de-l’Outaouais (Outaouais) et Pierre-Neveu (Laurentides).
LA GATINEAU – La Maison amitié a organisé, le 3 octobre, une visite aux Mosaïcultures de Gatineau. La clientèle a été impressionnée et émerveillée par la beauté des structures. La journée s’est terminée par un bon repas au restaurant.
«C’était impressionnant à
voir, commente Stéphanie
Morin. C’était vraiment
beau. Ça fait du bien de sortir.» «C’était fabuleux», ajoute Gilles Larche. Anthony O’Brien a «beaucoup aimé le train. Il y a beaucoup d’ouvrage
là-dedans. J’ai trouvé ça extraordinaire.»
La clientèle de la Maison amitié tient à remercier les commanditaires qui ont rendupossiblecettesortie.
MANIWAKI – Dans notre précédente édition, nous avons publié un article concernant l’inauguration du terrain synthétique. À noter que les membres du comité de travail sont les suivants : Harold Sylvain, Charles Pétrin, Monia Lirette, Jennifer Nolan, Caroline
Marinier en remplacement de Jennifer Nolan, Michelle Briand, Diane Nault, Josée Brisebois et Nathalie Piché. Des remerciements aux personnes qui ont contribué à la campagne de financement seront publiés dans la prochaine édition.
MARYLÈNE LACROIX Candidate au siège numéro 4
MESSINES - Parmi les candidats aux élections municipales à Messines, il
y a Marylène Lacroix, qui vise un premier mandat de conseillère au siège numéro 4.
Originaire de Bouchette,
Marylène Lacroix est mariée à Éric Archambault, qui est originaire de Messines, et elle réside dans cette municipalité depuis 9 ans. Cette maman de deux garçons travaille à Postes Canada depuis 10 ans comme factrice rurale. En parallèle, elle est impliquée au niveau scolaire depuis plusieurs années comme présidente de l’OPP (organisme de participation des parents), membre du conseil d’établissement, membre du comité de parents et elle entame sa quatrième année en tant que commissaire parent à la Commission scolaire des Hauts-Bois-de-l’Outaouais.
«Je me suis toujours dit que, pour changer les
choses, on devait s’impliquer, explique Marylène Lacroix. C’est pour ça que j’ai décidé de me lancer dans ce nouveau défi pour devenir conseillère de notre belle municipalitéquejeveuxcontinuer de promouvoir au profit des citoyens. J’ai le goût d’apporter mon expérience au sein du conseil et je veux m’impliquer au niveau de ma municipalité. Je suis habituée à travailler en équipe. Je travaille beaucoup actuellement pour les jeunes mais j’aimerais aussi développer d’autres compétences
et les mettre à profit pour ma région».
Marylène Lacroix se définit comme une femme «de cœur, honnête, ouverte d’esprit, accessible et engagée». Si elle est élue, la candidate promet d’être «à l’écouter des gens et travailler pour notre population».
ADMINISTRATEUR MUNICIPAL Trois élus val-gatinois diplômés
LA GATINEAU - Trois élus val-gatinois disposent d’un diplôme d’administrateur municipal : le maire de Montcerf-Lytton, Alain Fortin, la mairesse de Cayamant, Chantal Lamarche, et la mairesse de Gracefield, Joanne Poulin.
«Il a fallu suivre plusieurs formations, explique Alain Fortin. J’ai commencé durant mon premier mandat et j’ai eu mon diplôme en
▲ Chantal Lamarche, mairesse de Cayamant, et Alain Fortin, maire de Montcerf-Lytton, avec leur diplôme d’administrateur municipal.
2015. Ça prend un minimum de 4,2 unités d’accréditation, ce qui équivaut à 42 heures de formation. Moi, quand j’ai terminé, j’avais 4,6 unités. J’ai suivi les formations comportement éthique, qui est obligatoire, les rôles et responsabilités des élus, maîtrisez vos dossiers municipaux, gestion financière municipale, mariage et union civile, relation de travail et gestion des conflits, la nécessité d’un travail d’équipe du maire et du directeur général, communication avec les médias et les citoyens. J’ai suivi les formations qui étaient pertinentes pour moi. Il faut suivre au moins trois formations obligatoires parmi quatre : comportement éthique, rôle et responsabilités des élus, gestion financière municipale, maîtrisez vos dossiers municipaux. Sans trois
▲ AlainFortin,lorsdelaréceptiondesondiplôme.
▲ Chantal Lamarche en compagnie de Richard Lehoux, président de la FQM.
de ces quatre cours, on ne peut pas avoir notre diplôme. Je trouve ça important que les élus suivent des formations car, avec les changements du monde municipal, on n’a pas le choix de se tenir à niveau car les règles changes, les responsabilités évoluent. On le voit avec le projet de loi 122. Dans certaines formations, j’ai appris des choses importantes liées à mon devoir de maire. Cela permet aussi d’apporter des informations au conseil. Je vais continuer à me parfaire et les employés
▲ Joanne Poulin en compagnie de Richard Lehoux, président de la FQM.
municipaux vont continuer à aller en formation car c’est une obligation aujourd’hui.»
De son côté, Chantal Lamarche a commencé ses formations fin 2012, début 2013. C’est Alain Fortin qui l’a incitée à sauter le pas. «Je suis fière car ce sont des acquis supplémentaires, explique-t-elle. J’ai eu 5,2 unités.» Chantal Lamarche, qui est diplômée depuis quelques mois, et la mairesse de Gracefield, Joanne Poulin, diplômée depuis peu, sont allées chercher dernièrement leur diplôme à l’occasion du congrès de la Fédération québécoise des municipalités (FQM) à Québec.
Rencontre des personnes déléguées du SPEHR
La clientèle de la Maison amitié en visite aux Mosaïcultures
Inauguration du terrain synthétique :
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