Page 6 - La Gatineau 28 décembre 2017
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6 28 décembre 2017 La Gatineau
    CHRONIQUE
PRIORITÉS DE CHANTAL LAMARCHE EN 2018
Les résolutions de la préfète
          santé
MRC alors que le carnet de demandes est rempli. «Nous avons été dans l’obligation d’embaucher des techniciens pour répondre adéquatement aux demandes qui nous ont été adressées. Notre Service de génie se développe normalement et c’est tout à l’honneur des maires de la région qui y ont cru dès le départ.»
La préfète s’attend à ce que le sentier de VTT qui relie les Monts Cayamant et Blue Sea connaisse une
suite positive quant à la fréquentation régulière des quadistes de la région et
de l’extérieur. «Nous devons également poursuivre le développement de la Véloroute des Draveurs mais je vais également travailler fort à la promotion de notre sentier de VTT.»
Le Programme de développement de zone agricole (PDZA), qui a fait l’objet de consultations publiques en 2017, devrait se développer dès 2018. «Nous voulons en arriver à la location de petites terres à des gens qui sont intéressés par la production de petits fruits et de légumes dans la Vallée-de-la-Gatineau.»
Le projet Cap Sud-Ouest, qui regroupe des représentants des MRC de la Vallée- de-la-Gatineau, Pontiac et Témiscamingue, qui vise à préciser puis à promouvoir les potentiels de ces trois territoires distincts, est prêt à démarrer. «L’étude a été complétée. Il ne reste plus qu’à réaliser les objectifs qui ont été retenus. Nous devons attirer les investisseurs chez nous. Nous aurons le droit de puiser dans le Fonds régional de rayonnement (FOR) pour identifier les projets mis de l’avant tant ici qu’ailleurs.»
Chantal Lamarche est bien consciente du fait que tous les projets qui seront mis de l’avant en 2018 sont le fruit du travail des maires de la région au cours des quatre dernières années. Elle admet que c’est le temps de passer à l’action et c’est pourquoi elle poursuit les discussions avec ses collègues du conseil des maires, lesquels elle respecte les opinions.
«J’ai 17 bras-droits au sein du conseil. Je dois d’abord gagner la confiance de mes collèges et m’assurer de leur appui pour la suite des choses. J’ai bien l’intention de respecter l’autonomie municipale. Je suis particulièrement heureuse d’avoir été élue
   Les bienfaits de la massothérapie
On associe souvent le massage à la détente. Mais saviez-vous que la massothérapie offre également des soins thérapeutiques? En fait, selon les données du Comité sectoriel de la main-d’œuvre de soins personnels, plus de 4 massothérapeutes sur 5 au Québec affirment être consultés pour des problèmes de santé physique tels que des maux de dos ou de tête.
Pour corroborer cette tendance, de plus en plus de recherches scienti ques tendent à démontrer l’ef cacité de la massothérapie en tant qu’approche complémentaire à la médecine conventionnelle, par exemple dans le soulagement de la douleur chronique ou dans l’amélioration de la qualité de vie des personnes vivant avec un cancer. Au Québec, on retrouve même des massothérapeutes dans certaines unités d’oncologie.
En réalité, le massage entraîne un bien-être, une détente et une relaxation qui amènent le corps à se relâcher temporairement. L’effet de la massothérapie est multidimensionnel, en ce sens que le toucher produit ses effets non seulement sur le plan physique, mais également sur les plans psychologique et émotionnel. On parle d’une approche dite holiste, c’est-à-dire qu’elle considère l’individu dans sa globalité.
Évidemment, la massothérapie n’est pas curative. Le massothérapeute pourra, grâce à son toucher adapté, contribuer à soulager une douleur qui vous accable depuis quelques semaines, calmer votre esprit et améliorer la qualité de votre sommeil.
Il contribuera à votre mieux-être.
Venez nous rencontrer pour de plus amples renseignements.
Cette chronique est une gracieuseté de
MARTIN ROY
Pharmacien
50, rue Principale Sud, Maniwaki,
819 449-1360
JEAN LACAILLE
jlacaille@lagatineau.com
CAYAMANT - Les maires de la région ont dressé la table au cours des quatre dernières années. Tous les plans sont finalisés et sont prêts à être exécutés. C’est le temps de passer à l’action. La préfète, Chantal Lamarche, parle de ses résolutions pour 2018.
La préfète rappelle la tenue du forum touristique en janvier dernier au club de golf Algonquin à Messines où divers scénarios de développement avaient été avancés en ateliers. «Je me souviens des beaux projets qui avaient alors été effleurés. Le temps est maintenant venu de travailler à leur réalisation.»
La matrice graphique réalisée par la MRC est un outil qui peut servir au développement de la région. «Et que dire de la création de la Cour municipale. C’est en 2018 que nous allons connaître les effets positifs engendrés par la mise en place de cette structure. Tous les revenus seront versés dans les coffres des municipalités de la MRC. C’est là que nous connaîtrons les résultats de nos décisions.»
FDT, MADA, etc.
Divers projets, financés par le Fonds de développement du territoire (FDT) verront le jour en 2018. Les municipalités qui ont travaillé au programme Municipalités amies des ainés (MADA) de même qu’à la politique familiale, en général, se rapprochent des effets positifs de cette dynamique régionale. «Et le projet d’une salle de spectacles de la Maison de la culture de la Vallée-de-la-Gatineau connaîtra sûrement son dénouement en 2018. C’est un projet qu’a cautionné la MRC. La mise en œuvre de ce projet est attendu avec impatience.»
Le Plan de gestion des matières résiduelles (PGMR) représente beaucoup de sous pour l’ensemble des municipalités de la région.
«Le plan a été déposé et c’est positif. J’ai d’ailleurs rencontré les élus municipaux de Kazabazua pour en discuter avec eux. Un réel dynamisme s’est dégagé de ces rencontres si bien que notre collaboration devrait mener à des résultats positifs.»
Idem pour le Service de génie civil de la
▲ La préfète, Chantal Lamarche, s’attend à ce que ça bouge en 2018 dans la MRC de la Vallée-de-la-Gatineau.
au sein du conseil d’administration de la Fédération québécoise des municipalités (FQM). Le fait d’avoir été élue par acclamation est une marque de confiance qui ajoute à ma volonté d’apporter ma contribution au développement de l’Outaouais, de son volet rural également.»
Chantal Lamarche n’a jamais caché son admiration pour les organismes voués au développement social sur le territoire. «Il y en a 59 en tout et je tiens à confirmer ma solidarité envers ces organismes qui émanent de la Table de développement social de la Vallée-de-la-Gatineau. C’est important de travailler ensemble. Je ne le dirai jamais assez, nous devons travailler pour les gens de notre région.»
La santé
Pour ce qui concerne le dossier de la santé, la préfète Chantal Lamarche a déjà bougé. Elle a rencontré le président- directeur général du Centre intégré de la santé et des services sociaux de l’Outaouais (CISSS), Jean Hébert, pour faire le point sur la situation qui prévaut sur le territoire de la MRC.
«Je ne peux rien dire pour l’instant mais je tiens à ce que la population sache que je m’occupe de ce dossier important et je serai en mesure d’en divulguer davantage dans les prochaines semaines.»
Comme elle l’avait promis au cours de sa campagne électorale, Chantal Lamarche entend réviser le budget de la MRC afin d’analyser la possibilité d’apporter des modifications «pour que ça coûte moins cher aux contribuables.» Pour ce faire, elle entend créer un comité d’analyse du budget, composé de ses collègues, dans le but d’en arriver à comprimer les dépenses.
«Au nom de mes collègues du conseil, des membres du personnel de la MRC, je souhaite à toute la population une période des fêtes agréable, en bonne compagnie».
CENTRE JEAN-BOSCO Journée «pyjama party»
MANIWAKI - Le 21 décembre, les clients du centre de jour du Centre Jean- Bosco ont accueilli l’hiver lors d’une journée «pyjama party». La journée a été riche en activités. Tous se sont bien amusés.
          





















































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