Page 4 - Cahier verrière Auberge du Draveur

Une petite Floride en plein
Un petit tour à l’intérieur de l’Oasis
Les travaux du bar l’Estacade viennent d’être complétés.
PAR JEAN LACAILLE
LA GATINEAU - Prenez vos aises et offrez-vous un moment de pûr bonheur à l’Oasis de l’Auberge du Draveur où le mercure indique toujours du bon temps en famille ou entre amis. C’est la petite Floride en toutes saisons en plein centre ville de Maniwaki.
Tout a été pensé en fonction de la détente et du plaisir. C’est un produit unique qui démarque Maniwaki et la Haute-Gatineau en Outaouais. Construite, au coût de 700 000 $ par les Constructions Ed Brunet et Fils de Gatineau, avec une importante contri- bution de contracteurs locaux, l’Oasis de l’Auberge du Draveur est déjà très populaire auprès de la clientèle locale et très prisée par les clients de l’exté- rieur qui sont hébergés à l’établissement.
De tout pour tous les goûts
L’Oasis de l’Auberge du Draveur comprend un spa et une piscine qui sont accessibles à tous. Cette zone est non licenciée pour les jeunes âgés de
moins de 18 ans. La licence bar-ter- rasse permet aux propriétaires d’ac- cueillir ce type de clientèle pour qu’elle profite des installations au maximum. La verrière peut accueillir 90 person- nes dans l’espace non licencié et 88 per- sonnes avec un bar licencié clôturé pour bien démarquer la clientèle.
Concept Gatino vient de compléter le bar l’Estacade qui donne un cachet tout à fait particulier à la verrière. Les gens qui désirent se restaurer son servis sur place à même les facilités de la res- tauration de l’Auberge.
Un spa a été aménagé à l’extérieur, pour les adultes seulement. Un total de 71 personnes peuvent s’y prélasser en toute quiétude. L’établissement détient une licence bar-terrasse pour les facili- tés extérieures.
«Nous voulions faire de notre éta- blissement une destination touristique, unproduitunique,unoutildedévelop- pement touristique et nous croyons y être parvenus. Nous avons doté la com- munauté régionale d’un outil local de développement unique en son genre. Et sur ce point, il n’y a pas de compéti- tion», précise Gilles Lafrenière.