Page 10 - La Gatineau 28 Février 2013

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La Gatineau - JEUDI 28 FÉVRIER 2013
Nouvelle recrue à la Coopérative de la Forêt de l’aigle
SYLVIE DEJOUY
LA GATINEAU – C’est une femme habi- tuée à monter des projets. Annie Parent vient d’être nommée gestionnaire-coor- donnatrice par la Coopérative de solida- rité de la Forêt de l’aigle. Elle est ainsi la seule salariée. «Nous avons mis en place un comité de gestion des ressources char- gé de proposé des projets, explique Denis Gendron, président du conseil d’adminis- tration. Mais ça prenait une personne centrale pour gérer et coordonner tout ça.»
Annie Parent est originaire de Gatineau, où elle a grandi. Elle a obtenu un bac en biologie à Rimouski. Depuis 13 ans, elle vit dans la Vallée-de-la-Gatineau. En effet, en septembre 2000, la Société sylvicole de la Haute-Gatineau l’a embau- chée. «Je suis donc au courant de tout ce qui se fait dans la Forêt de l’aigle, assure Annie Parent. Je garderai un pied à la Société sylvicole, même si le gros de mon travail sera à la coopérative. Le départe- ment multiressources continuera d’opérer et je continuerai à offrir mes services d’ex- pertise comme biologiste.»
Une lourde tâche l’attend, surtout en cette période difficile financièrement.
De gauche à droite : Rodrigue Plourde, secrétaire-trésorier ; Denis Gendron, pré- sident du conseil d’administration ; Annie Parent, nouvelle gestionnaire-coordon- natrice ; André Riopel, administrateur.
avec le conseil d’administration et le comi- té de gestion des ressources.»
Ce dernier, qui vient tout juste d’être créé, est divisé en six branches : forestière, entre les mains de la Société sylvicole; l’hébergement, qui relève de la ZEC Pontiac ; l’éducation, responsabilité de la Commission scolaire des Hauts-Bois-de- l’Outaouais ; le récréotourisme, dont s’oc- cupe le Collège héritage de Gatineau ; la recherche et le développement, pour l’Université du Québec en Outaouais ; le territoire, qui relève de la municipalité de Cayamant.
Chacun dans son domaine doit sou- mettre des projets au conseil d’administra- tion. Plusieurs activités sont ainsi en cours : la coupe de bois, la location de chalets, l’accueil au Black Rollway, l’entre- tien des infrastructures comme les che- mins et bâtisses.
Dans chacun de ces projets, la coopéra- tive s’est fixée une mission : engager nos membres pour les activités dans la Forêt de l’aigle. «Nous faisons appel à l’extérieur quand nos membres ne peuvent pas, pré- cise Denis Gendron. Ainsi, cela créé des emplois dans la région.»
A noter que la Forêt de l’aigle s’étend sur 11 100 km2. Elle est ainsi l’un des plus grand terrains de jeux du Québec.
Mais Annie Parent n’a pas peur des défis et la jeune femme est prête à retrousser ses manches. De plus, elle pourra compter sur l’aide d’André Riopel, administrateur au sein de la coopérative et qui travaille aussi à la Société sylvicole.
«Comme la Société sylvicole, j’ai la Forêt de l’aigle tatouée sur le cœur, c’est un privilège pour moi de travailler pour la coopérative, commente Annie Parent. Beaucoup de beaux projets ont été réalisés
donc on ne part pas de zéro. Je vais tra- vailler sur la situation financière, la pro- motion de la Forêt de l’aigle, mettre en place un plan d’actions, dans le but de développer toutes les ressources de la Forêt de l’aigle. Il y a donc d’autres bons coups à venir, en misant sur l’implication des 27 membres. C’est important d’avoir une bonne communication avec eux afin qu’ils suivent l’évolution des dossiers. Je souhaite aussi travailler en étroite collaboration
MANIWAKI - Le puisatier de la Vallée-de-la-Gatineau, Les Puits arté- siens Dufresne-Laniel, est maintenant présent sur le web, avec un tout nouveau site Internet, à l’adresse : www.puits- dufresne-laniel.com
Vous voulez savoir comment est fait un puits artésien ? Quels sont les équipe- ments requis pour votre alimentation en eau potable ? Qu’est-ce que l’hydrofrac- turation ? «Les réponses sont dans les pages de notre nouveau site web», sou- ligne le propriétaire de l’entreprise, Hugo Morin.
Vous y trouverez également de l’infor- mation sur les puits avec crépine, sur la règlementation à respecter, sur le traite- ment du puits après son creusage et sur la question de l’analyse de l’eau.
Plus important encore, vous y appren- drez que, «quel que soit l’endroit où nous creuserons votre puits, nous y trouverons de l’eau en quantité suffisante grâce aux techniques modernes que nous utili- sons», assure Hugo Morin.
Puits Dufresne-Laniel assure un ser- vice complet, du creusage du puits à l’installation de la pompe et du réservoir. Quand le travail est terminé, il ne vous reste plus qu’à ouvrir le robinet pour voir l’eau couler.
À propos de Dufresne-Laniel
Lorsque vient le temps de faire creu- ser un puits artésiens dans la Vallée-de- la-Gatineau, un nom s’impose, celui de Dufresne-Laniel, qui dessert fidèlement la région depuis plus de 60 ans.
Fondée en 1948 par Joe Dufresne,
l’entreprise a été ensuite acquise en 1972 par Raymond Laniel. C’est en 1994 qu’Alain Lapierre prend la relève.
Depuis 2012, Puits Dufresne-Laniel est la propriété de Hugo Morin, qui était déjà associé à l’entreprise depuis 14 ans. M. Lapierre demeure toutefois un colla- borateur de l’entreprise et se spécialise dans l’installation des pompes submersibles.
Dufresne-Laniel est véritablement synonyme de puits artésiens, ayant creu- sé environ 80% de tous les puits de la région au cours des années.
La réalisation du site web de Puits Dufresne-Laniel a été confiée à Michel Gauthier, de la firme localeSogercom. com, le spécialiste du web dans la Vallée-de-la-Gatineau.
Hugo Morin, propriétaire des Puits arté- siens Dufresne-Laniel.
Dufresne-Laniel maintenant sur le web
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