Page 4 - La Gatineau 8 mai 2014

4 8 mai 2014 La Gatineau DIMENSION DANSE
Une ambiance électrique !
La Gatineau
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Publié le jeudi, et monté dans nos ateliers par Les Éditions La Gatineau Ltée, 135-B, route 105, Maniwaki
Imprimé à l’Imprimerie Qualimax
130, Adrien-Robert, Gatineau (Québec)
Courrier de deuxième classe, enregistrement n° 0535 Dépôt légal : Bibliothèque Nationale du Québec. Tirage : 11 300 copies.
Représentation nationale :
Montréal : 514-866-3131 Toronto : 416-362-4488
MANIWAKI - Le weekend dernier avaient lieu les quatre représentations du 17e spectacle annuel de l’école Dimension Danse, à la Cité étudiante
de la Haute-Gatineau. C’est dans une atmosphère très énergique que se sont déroulés les 26 numéros, tous aussi originaux les uns que les autres. Isabelle Chantal, directrice
de l’école, ses chorégraphes, Francisca Lyrette, Stéphanie Lafrance et Michelle Carrière, ainsi que les assistantes ont su, comme à chaque année, se renou-
veler à travers les numéros et selon les groupes.
Les catégories telles que CPE La Bottine, pré-danse, 5 à 8 ans et 7 à 11 ans sont toujours très agréables à regarder pour le public,
étant donné le très jeune âge des danseurs et danseuses. Les 11 ans et plus, le groupe de cheerleading,
le groupe de hip-hop, l’avant- troupe, la troupe et l’équipe de compétition, comptent tous en moyenne une quinzaine de
membres et font parfois au courant de l’année des com- pétitions dans des plus grands centres. C’est le cas pour la troupe, qui a d’ailleurs remporté l’or dans une compétition à Gatineau récemment. La catégorie «formation» est formée de femmes d’au moins 20 ans qui dansent depuis très longtemps pour la plupart et qui le font pour le plaisir.
Le résultat de tous ces groupes sur scène donne quelque chose de très diversifié au bout de la ligne, avec des numéros comme «l’ère du rock», passant par «les abeilles», des numéros au blacklight où il est impossible de reconnaître les danseurs et danseuses, des prestations de hip- hop et de cheerleading. Tous ceux qui se sont démarqués au courant de l’année ont pu recevoir de la part de Mme Chantal et des professeurs une médaille ou un trophée pour souligner leurs efforts. Vivement une 18e année pour ce spec-
tacle haut en couleurs.
Émélie Cadieux
Courrier du lecteur
Félicitations à la mairesse de Cayamant
Dans son édition du 1er mai, le journal La Gatineau signalait que lors de la dernière réu- nion du conseil des maires de la MRC, la mai- resse de Cayamant s’est opposée au renouvelle- ment de l’entente prévoyant le versement d’une aide financière de 10 000$ de la MRC à la Société d’aménagement et de gestion environ- nementale du bassin versant du lac des Trente- et-un-Milles (SAGE) pour l’entretien des équi- pements au site du Pont de pierre dans la municipalité de Déléage. Madame la mairesse alléguait avec raison le caractère injuste de cette subvention alors que Cayamant peine à trouver des fonds pour entretenir le Mont Cayamant.
Je désire féliciter la mairesse de Cayamant pour sa position sur ce dossier et manifester mon appui aux élus qui se sont joints à sa protestation. Je considère que la MRC Vallée-de-la-Gatineau doit avoir une politique équitable clairement énoncée dans sa gestion des fonds publics en matière de soutien à des parcs municipaux ou régionaux à vocation récréo-touristique. Pourquoi favoriser un parc plutôt qu’un autre ? Existe-il des critères à la MRC pour définir l’admissibilité d’un parc à une aide financière ?
Pendant trois ans (2010 à 2013), j’ai été bénévole au sein du conseil d’administration de l’Association du Parc du Mont Morissette à Blue Sea. A chaque année pendant mon man- dat, le président du CA de l’association nous informait que la MRC avait accordé quelques milliers de dollars pour financer l’entretien des équipements au site du Pont de pierre mais que
malheureusement le même traitement ne s’ap- pliquait pas pour le Parc du Mont Morissette. C’est en sollicitant de généreux commandi- taires, en vendant des cartes de membre et en levant des fonds dans la communauté et grâce à l’appui financier de 5 000$ versé annuelle- ment par la municipalité de Blue Sea, que notre association parvenait de peine et de misère à financer l’entretien des installations existantes ainsi que celui des sentiers de randonnée au Mont Morissette. Je me demandais alors quand est-ce qu’un maire allait enfin avoir le courage de se lever pour contester cette politique iné- quitable de la MRC qui favorisait le site du Pont de pierre au détriment des autres parcs récréo-touristiques sur le territoire de la MRC.
A mon avis, tant qu’un parc n’a pas de statut officiel de parc régional (et c’est le cas de tous les parcs existants sur le territoire de la MRC Vallée-de-la-Gatineau), il faut alors considérer ce parc comme un parc municipal. Par consé- quent, il revient à la municipalité concernée ou à une association de bénévoles ayant reçu le mandat de gérer l’entretien et le développement de ce parc, de trouver les fonds nécessaires pour entretenir et mettre en valeur cette infrastruc- ture d’intérêt public. Regardons ce qui se passe dans la MRC voisine de Papineau. C’est la municipalité de Ripon qui investit annuelle- ment 6 000$ pour l’entretien du Parc des Montagnes Noires et non pas la MRC Papineau, car ce parc a un statut de parc muni- cipal et non pas de parc régional. Si la
municipalité de Déléage n’est pas intéressée à investir pour l’entretien du site du Pont de pierre et s’il n’y pas d’association de bénévoles à Déléage qui veut s’impliquer pour gérer ce site, pourquoi alors demander aux autres payeurs de taxes de la MRC d’assumer la facture ?
Il est plus que temps que la MRC Vallée-de- la-Gatineau se dote d’une politique claire et équitable concernant le soutien aux parcs à vocation récréo-touristique existants sur son territoire. Espérons que le comité chargé d’étu- dier la question va aboutir à des propositions concrètes, justes et satisfaisantes pour répondre aux préoccupations des élus et des citoyens protestataires.
Jacques Laberge, Blue Sea.
Merci... dufondducoeur
J’aimerais remercier tout le personnel et les professionnels de la santé de l’hôpital de Maniwaki pour tous les bons soins à mon égard durant mon hospitalisation. La nourriture était aussi excellente.
Un gros merci, vous faites un excellent travail, qui a été très apprécié.
Ronald Lacroix Maniwaki