Page 13 - La Gatineau 15 mai 2014
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La Gatineau 15 mai 2014 13 Entraînement sur une maison en feu
BOIS-FRANC - Belle pratique pour les pompiers de Maniwaki dimanche, sur une maison inoccupée de Bois-Franc. Neuf heures de simulations de toutes sortes, avec la participation des municipalités de Grand- Remous, Montcerf-Lytton et Messines.
Ce genre d’entraînement permet aux pompiers d’être bien préparés pour inter- venir en situation réelle et de tenir leurs compétences à jour.
Le directeur du service incendie de Maniwaki, Patrick Lemieux, tient à remercier Michel Lemieux, instructeur, ainsi que ses assistants Gérald Ménard et Jocelyn Danis.
ÉCOLE ST. MICHAEL
Trente heures de famine pour les étudiants
PRATIQUE DES POMPIERS
LOW - Les étudiants de l’école secondaire St. Michael ont participé à «30 heures de famine», un événement annuel organisé par Vision Mondiale. Dans le cadre de cette activité, les étudiants ont dormi à l’école afin d’expérimenter ensemble la famine.
«30 heures de famine» est la première et plus grande campagne de financement organisée par des jeunes à travers le monde. Au Canada, ce sont des milliers de jeunes qui se rassemblent pour y participer. Ils se fixent plusieurs défis : comprendre les
causes de la famine, récolter des fonds pour aider les populations qui en souffrent, puis jeûner pendant 30 heures pour en faire l’ex- périence. Les fonds récoltés appuient les projets de lutte contre la famine de Vision Mondiale.
«Nous ne pouvons pas mettre un terme à la faim dans le monde demain, mais nous pouvons aider les gens à se nourrir dans les communautés où Vision Mondiale tra- vaille, commente Scott Cavers, directeur de l’école secondaire St. Michael. Pour les gens vivant dans les pays développés comme le nôtre, la faim n’est qu’un incon- fort qui apparaît lorsque nous avons sauté un repas. Mais pour les gens vivant dans les pays en voie de développement où l’accès à la nourriture est très limité, et la famine fait partie de leur quotidien, cela affecte tous les aspects de leur vie, tous les jours. Il s’agit de combattre la famine, d’en comprendre les causes profondes et de démontrer aux étudiants qu’ils peuvent contribuer à faire un monde meilleur pour tous les enfants.»
Les étudiants choisissent de participer de multiples façons. Ils peuvent s’abstenir de téléphones cellulaires et technologie, d’une série de télévision préférée, de Twitter ou
Facebook, de coucher dans un lit en dor- mant sur le plancher, de bonbons ou colla- tions, de nourriture.
Pour plus de renseignements sur la cam- pagne nationale : http://yourmovement.ca/ act/30-hour-famine/
▲ Les élèves accompagnés de l’un des enseignants impliqués.


































































































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