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La Gatineau 21 avril 2016 21 SOCIÉTÉ CANADIENNE DU CANCER
Je cours, j’écrase !
Encore de nouvelles !
MANIWAKI - Dans le cadre de ses études universitaires, David Forester, enseignant au CFER, avait effectué un stage d’enseignement d’une semaine dans les Ardennes françaises, à Charleville-Mézières. Ayant toujours gardé contact avec l’enseignant qui l’avait accueilli, Christian Meyer-Sali, David Forester l’a donc invité à venir découvrir son milieu professionnel et l’univers d’un Centre de formation en entreprise et récupération (CFER).
C’est donc à l’occasion de leur séjour au Québec que M. Meyer-Sali et son fils Julian sont venus faire une présentation à tous les élèves du CFER Vallée-de-la-Gatineau. Lors de leur cours d’univers social, les élèves ont pu en apprendre plus sur la population française, le territoire, les
attraits touristiques, la culture et ils ont également démystifié les idées préconçues à l’endroit des cousins français. En retour, les enseignants leur ont fait découvrir les caravanes de la Récupération et Énergie-O, l’historiqueduréseauCFERainsique les installations de l’école.
Il est à noter que certains élèves de la classe de CFER 2-3 participent à un projet de correspondance avec les camarades de classe de Julian du collège Marcel Ganichon de Signy l’Abbaye. Cette petite visite a donc concrétisé cette démarche pédagogique.
Les élèves et les enseignants du CFER désirent remercier M. Meyer- Sali de sa visite et lui souhaitent, ainsi qu’à sa famille, un très beau séjour en sol québécois.
▲ M. Christian Meyer-Sali et son fils Julian qui donnent des explications sur la France sur la photo du haut. Photo du bas, M. Meyer-Sali et son fils accompagnés de quelques élèves du CFER.
▲ ▲ L L e e s s e e n n s s e e i i g g n n a a n n t t s s d d u u C C F F E E R R V Va a l l l l é é e e - -
de-la-Gatineau en compagnie de leurs visiteurs français.
«Mes divas» : histoire de la chanson française au féminin
MANIWAKI - Michel Normandeau, membre fondateur du groupe Harmonium, sera de retour à la bibliothèque J. R. L’Heureux ce jeudi 21 avril à 19h. Il offrira son second volet de l’histoire de la chanson française. Sa présentation audiovisuelle, intitulée «Mes divas», portera sur les grandes dames de la
chanson française de 1867 à 1967.
Illustrations et extraits musicaux vous feront voyager dans le temps. Michel Normandeau fera également une courte présentation de son dernier roman «Dis-moi, Lily-Marlène».
Laissez-passer gratuits disponibles au 819-449-2738.
LA GATINEAU - La Société canadienne du cancer (SCC) en partenariat avec le Coin des Coureurs et le gouvernement fédéral, innove en offrant «Je cours, j’écrase!», une nouvelle façon efficace d’arrêter de fumer en intégrant la course ou la marche.
Ce programme est basé sur une approche novatrice qui augmente de façon importante le taux de réussite tout en améliorant l’état de santé général des participants. Il est démontré que l’activité physique peut réduire les envies de fumer, les symptômes de sevrage, les humeurs négatives et le gain de poids. Être actif aide également à réduire le risque de rechute. «En participant, un fumeur multiplie par sept ses chances d’être toujours non-fumeur six mois après s’être inscrit. Au Québec, près de 20 % de la population âgée de 12 ans et plus fume – soit près de 1,4 million de Québécois», déclare Chani Gagnon-Warren, agente de services à la communauté à la Société canadienne du cancer.
Trois volets sont offerts aux fumeurs. D’abord, s’engager à écraser soi-même (gratuit). Certains fumeurs préfèrent cesser de fumer par eux-mêmes. Leur motivation est accrue par les prix qu’ils pourraient gagner, mais surtout par leur engagement de devoir prendre part à une course/marche de 5 km d’ici le 31 juillet 2016. En s’inscrivant,
ces participants ont accès sans frais à certaines ressources de soutien.
Ensuite, un programme d’entraînement en magasin (69,99 $ + taxes). Ce forfait comprend 10 séances de groupe hebdomadaires basées sur un programme standard d’abandon du tabac et sur le développement de l’endurance. Les participants s’entraînent aussi dans le but de prendre part à une course/marche de 5 km d’ici le 31 juillet 2016.
Enfin, un programme d’entraînement virtuel (49,99 $ + taxes). Les fumeurs qui s’inscrivent à ce volet reçoivent 10 courriels hebdomadaires et des fichiers audio pour les guider dans leur entrainement et leur cessation. Le tout se fait selon leur horaire et est basé sur un programme standard d’abandon du tabac et sur le développement de l’endurance. Les participants s’engagent aussi à prendre part à une course/marche de 5 km d’ici le 31 juillet 2016.
Quel que soit le programme choisi, les participants courent la chance de gagner une voiture (d’une valeur estimée à 25 000 $) ou l’un des 5 prix de 1 000 $. Les fumeurs intéressés peuvent s’inscrire au programme jusqu’au 23 avril 2016 au www. jecoursjecrase.com ou par téléphone, au 1 866 587-7383 (ligne j’Arrête).
Formation en ligne sur les soins palliatifs
LA GATINEAU - La Société canadienne du cancer (SCC) et l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ ) annoncent qu’une formation en ligne unique sur les soins palliatifs sera désormais offerte aux 73 000 membres de l’OIIQ , soit à l’ensemble des infirmières exerçant la profession au Québec.
Intitulée «Les soins palliatifs : lorsque tout reste à faire», la formation a été élaborée par l’OIIQ et subventionnée par la SCC. Reconnue par le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS), elle a pour but d’outiller les infirmières afin qu’elles puissent intervenir adéquatement auprès des personnes qui ont besoin de soins palliatifs à la maison, à l’hôpital ou dans un autre établissement. Le titre de la formation évoque clairement l’impact positif des soins palliatifs sur la gestion des symptômes et donc sur la qualité de vie du malade et de son
entourage.
Comme l’explique Suzanne Dubois, directrice générale de la SCC – Division du Québec, «une des priorités de la SCC à laquelle adhère l’OIIQ est de veiller à ce que tous les Québécois aient accès à des soins palliatifs de qualité et obtiennent le soutien dont ils ont besoin. Les experts le disent, il est souhaitable que les soins palliatifs fassent partie intégrante des soins, et ce, tout au long du continuum d’une maladie comme le cancer. Sachant qu’environ huit personnes sur dix recevant des soins palliatifs sont des patients atteints de cancer et que le nombre de cas de cancer augmentera au Québec d’au moins 35 % d’ici 2030, la SCC estime qu’il est primordial de développer les compétences des professionnels de la santé en matière de soins palliatifs, d’où l’initiative de financer, en collaboration avec l’OIIQ , une formation en ligne pour les infirmières du Québec.»
Près de 65 000 jonquilles vendues
LA GATINEAU - À l’occasion du Mois de la jonquille de la Société canadienne du cancer, en Outaouais près de 65 000 jonquilles ont été vendues du 6 au 10 avril par 300 bénévoles. C’est donc un excellent départ pour cette collecte de fonds qui se poursuit jusqu’à la fin avril.
Pour contribuer davantage à la lutte contre le cancer, la population est maintenant invitée à : se procurer une épinglette jonquille au bureau régional de la SCC situé au 15, rue Buteau ou encore chez Planchers Lauzon à Thurso, Papineauville et à Maniwaki ; communiquer avec le Service d’information sur le cancer de la SCC (1 888 939-3333) ou rendez-vous sur cancer.ca pour faire un don
ou pour toute autre question sur le cancer.
Les fonds recueillis pendant le Mois de la jonquille permettent à la SCC de soutenir des dizaines de milliers de Québécois touchés par le cancer, notamment grâce à l’aide fournie par ses spécialistes en information sur le cancer. Le SIC de la SCC répond par téléphone ou courriel à des questions sur tous les aspects de la maladie ainsi que sur les ressources offertes dans la communauté, peu importe où l’on réside au pays. Au Québec, depuis cinq ans, ce service national a traité environ 80 000 demandes d’information. Depuis 1996, 1,25 million de demandes ont été traitées à l’échelle du pays.
Des Français en visite au CFER