Page 21 - La Gatineau 11 mai 2017
P. 21

La Gatineau 11 mai 2017 21 Willliam Amos ouvre la discussion
TRANSPORT COLLECTIF ET STO
JEAN LACAILLE
jlacaille@lagatineau.com
GRACEFIELD - Tout en convenant que le transport collectif moderne en milieu urbain passe par un arrimage entre les villes d’Ottawa et Gatineau, le député de Pontiac, William Amos, croit mordicus à la décentralisation de la Société de transport de l’Outaouais vers les zones rurales.
«C’est très important pour moi, en tant que député, de travailler à la concertation de projets de transport collectif. Si jamais, il y a des demandes d’appui pour le transport collectif dans la Vallée-de-la-Gatineau, je suis très intéressé à en discuter avec les autorités concernées autant, du sud que du nord de l’Outaouais, incluant les régions rurales associées. Mais nous devons tout d’abord consolider le transport collectif entre Ottawa et Gatineau», lance le député Amos.
À Gatineau, selon le député, la Société de
transport de l’Outaouais (STO) est incontournable. Il affirme surveiller de près ce qui se passe avec le transport collectif parce qu’une expansion est prévue pour l’est et l’ouest de la ville de Gatineau de même que d’améliorer la situation dans les secteurs croissants.
Trans-Collines
«En ce qui concerne nos collectivités rurales, Trans-Collines est actuellement en pourparlers avec la municipalité de Pontiac. Il faut maintenant discuter de la façon dont on peut appliquer le service en milieu rural. Le transport en milieu rural ne relève pas du gouvernement fédéral mais des fonds sont prévus dans les budgets 2016 et 2017 par le ministre Bill Morneau. Il y a des fonds historiques qui sont disponibles à tous les niveaux», précise le député William Amos.
Le transport collectif revêt un caractère particulier pour le comté de Pontiac. Le député Amos précise qu’il représente au-delà de 35 000 commettants qui vivent à Gatineau, 30 000 à Chelsea, La Pêche, Val-des-Monts et Cantley qui utilisent les services du transporteur Trans-Collines. Il y a au moins 70 000 personnes qui voyagent dans la région et en ville.
«C’est très important pour moi comme député de travailler à la concrétisation de projets de transport collectif dans notre région. Je suis très intéressé à amorcer un dialogue avec les intervenants au sud comme au nord parce que l’on sait tous que l’essor de la capitale nationale, y compris les régions rurales associées, dépend d’un service de
transport collectif moderne qui passe infailliblement par un arrimage entre les villes de Gatineau et Ottawa».
DEMANDE DE DÉROGATION MINEURE
Avis est par la présente donné par le soussigné, directeur général par intérim, que lors d’une séance ordinaire du conseil municipal de la Municipalité de Grand- Remous qui aura lieu le 5 juin 2017 à 19 h, au centre Jean-Guy Prévost, 1508, route Transcanadienne, Grand-Remous, le conseil municipal prendra en considération la demande de dérogation mineure suivante :
LOT 4 168 637 (2, CHEMIN DE LA FALAISE, GRAND-REMOUS)
Demande numéro 2017-05 ayant pour effet de réduire la marge avant à 9 mètres qui normalement devrait être à 12 mètres, ceci contrairement à ce qui est prescrit à l’article 6.2.1.2, chapitre VI du Règlement de zonage N°074.
DONNÉ À GRAND-REMOUS, ce 10 mai 2017.
Jean-Marie Gauthier Directeur général par intérim
AVIS PUBLIC
▲ Le député William Amos est ouvert aux discussions avec les intervenants en matière de transport collectif en milieu rural.


































































































   19   20   21   22   23