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La Gatineau 2 avril 2015 15 2 537 déplacements supplémentaires
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU GUTAC
SYLVIE DEJOUY
sdejouy@lagatineau.com
MANIWAKI - «En tant que directrice générale, je suis très fière de la performance et des résultats obtenus par l’équipe du GUTACVG pour l’année 2014.» Linda Lapointe a présenté le bilan de l’année écoulée à l’occasion de l’assemblée générale annuelle de l’organisme. Il en ressort que 29 098 déplacements en transport adapté, collectif et communautaire ont été effectués surleterritoiredelaVallée-de-la-Gatineau, soit 2 537 de plus qu’en 2013. L’équipe a ainsi permis à 1 123 personnes de se déplacer dans et en dehors de la région.
maintenant regroupés, note Linda Lapointe. Cela permet des économies administratives et une meilleure gestion des transports.» Alors que le regroupement s’adressait aux personnes de 60 ans et plus et imposait une limite de trois transports par mois, désormais celle-ci n’existe plus et la limite d’âge est de 50 ans sur tout le territoire.
Les transports proposés par le GUTAC sont effectués par des transporteurs, les Transports P. Michaud et les Transports Heafey, et un réseau de 33 bénévoles- accompagnateurs qui emmènent les personnes à leurs rendez-vous, principalement médicaux, dans la région mais aussi jusqu’à Gatineau-Ottawa ou encore Montréal.
▲ Des membres du conseil d’administration avec, de gauche à droite, Neil Gagnon, Sophie Beaudoin, Linda Lapointe (également directrice), Gary Lachapelle et Adeline Dault qui représentait Lisette Fournier.
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adaptés ont été effectués (contre 23 440 en Le GUTAC est le Guichet unique en
Plus en d
La
Gatineau
territoire en proposant une alternative aux déplacements individuels.
Le conseil d’administration du GUTAC est composé de Neil Gagnon, vice-président ; Gary Lachapelle, Yves Verville, Lisette Fournier, Sophie Beaudoin, Évelyne Hubert, administrateurs(trices) ; Linda Lapointe, administratrice sans droit de vote.
Prochainement, le CA va passer de 7 à 9 membres en ajoutant un autre siège pour la MRC qui sera occupé par la directrice générale Lynn Kearney, un autre pour le Regroupement des clubs de l’âge d’or et le troisième pour la Chambre de commerce. Un chauffeur bénévole présent à l’assemblée a suggéré qu’un siège soit réservé à l’un des siens afin qu’ils soient aussi représentés. Cette question sera étudiée à une prochaine assemblée car, si le CA s’est montré
favorable, cela nécessite de revoir les
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il s’agit d’un organisme à but non lucratif mandaté par la MRC pour organiser le transport de personnes sur l’ensemble du territoire. Sa mission : «Offrir, maintenir, organiser, gérer et développer, au bénéfice de la collectivité, un service de transport collectif de personnes, incluant le transport adapté, desservant le territoire de la Vallée-de-la-Gatineau.»
Plus largement, le GUTAC permet de maintenir l’autonomie des personnes, notamment les personnes handicapées, âgées, à faible revenu ; de faciliter l’accès aux services, à la formation et à l’emploi ; briser l’isolement ; permettre le maintien des personnes dans leur milieu de vie ; contribuer au développement durable du
Le CA peut compter sur une équipe administrative qui, outre Linda Lapointe, se compose de Lyne Marcil, adjointe administrative, Claudette Rochon et Diane Blais, réceptionnistes-répartitrices.
À noter que le GUTAC a bénéficié du soutien financier de la MRC Vallée-de-la- Gatineau, le ministère des Transports du Québec, la Conférence régionale des élus de l’Outaouais, le Centre local de développement Vallée-de-la-Gatineau, les municipalités, le ministère de l’Emploi, le Fonds québécois d’initiatives sociales, l’Équipe des bénévoles de la Haute- Gatineau et les utilisateurs par leurs contributions.
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Maintenir l’autonomie des personnes
2013) ainsi que 3 491 transports collectifs transport adapté et collectif. Fondé en 2012,
règlements de l’organisme.
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notamment par plusieurs nouvelles demandes d’admission en transport adapté.
Un nouveau projet a marqué également 2014 : le lancement du projet-pilote de transport communautaire, comme en milieu urbain mais adapté au milieu rural. «Ce nouveau service est très abordable et disponible pour toute la population de la Vallée-de-la-Gatineau», insiste Linda Lapointe.
De plus, depuis le 23 mars, le Regroupement des clubs de l’âge d’or de la Vallée-de-la-Gatineau et des Collines, basé à Gracefield et qui couvrait le sud, a rejoint le GUTAC. «Tous les organismes en transports collectif et adapté sont
COURTIER IMMOBILIER MARTIN ST-JACQUES
De belles distinctions remises
par Royal LePage
L’année a été fructueuse pour le courtier immobilier Martin St-Jacques, affilié à Royal LePage. Il a reçu deux attestations de la part de la compagnie immobilière, qui témoignent de
l’excellence de son travail et de sa performance.
La première est l’Attestation d’excellence, que Martin St-Jacques reçoit pour la première fois. Elle est remise, à la grandeur du Canada, aux premiers lauréats, ceux qui ont déjà reçu leur l’attestation et les membres qui se sont vus remettre l’Attestation diamant, l’Attestation platine du directeur ou la Palme d’or du président cinq années sur sept. «L’Attestation
d’excellence, on l’a juste une fois», note Martin St-Jacques.
Deuxième distinction reçue : l’Attestation platine du directeur, remise à seulement 5% des courtiers de Royal LePage et que Martin St-Jacques avait déjà reçue l’an passé. Le lauréat de l’Attestation platine du directeur s’est classé dans les cinq meilleurs percentiles dans son marché immobilier
résidentiel.
Martin St-Jacques n’en est pas à ses premières distinctions. Dans le passé, il a déjà reçu la Palme d’or du président en
2009, 2010 et 2012, ainsi que la Platine du directeur en 2013-2014. Les récompenses sont remises en fonction des ventes effectuées durant l’année dans tous les secteurs de l’immobilier. Une performance d’autant plus remarquable pour Martin
St-Jacques qu’il rivalise avec des courtiers immobiliers travaillant dans de grands marchés urbains comme Montréal ou Ottawa.
Ces récompenses, Martin St-Jacques les attribue à «des heures et des heures de travail. Et beaucoup de plaisir». Selon lui, les qualités qui font un bon courtier immobilier sont «la disponibilité, la disponibilité et la disponibilité. Aussi avoir beaucoup de contacts. Plus tu en as, mieux c’est».
Cela a fait 6 ans en février que Martin St-Jacques exerce le métier de courtier immobilier. «J’ai toujours voulu faire ça, explique-t-il. J’avais 18 ans la première fois que j’ai regardé pour être courtier mais j’étais trop jeune pour avoir la crédibilité de le faire. En 2008, je suis retourné à l’école pour avoir ma licence en février 2009.»
Martin St-Jacques a toujours travaillé pour Royal LePage car, selon lui, «c’est la bannière qui offre le meilleur soutien et le meilleur service». Récemment, il a acheté le resto-pub Rabaska avec sa conjointe, Annie Brousseau. Le Rabaska est géré en majeure partie par cette-dernière. Mais Martin St-Jacques insiste : «Je n’ai pas pour autant délaissé l’immobilier. Au contraire, j’ai continué à performer. Je suis là pour aider Annie et au lieu de nuire à mon travail ça me permet de rencontrer plus de gens, ce qui me donne la chance de promouvoir les propriétés de mes clients vendeurs et de rencontrer plusieurs acheteurs potentiels».
Pour preuve, en 2014, Martin St-Jacques a vendu 12 des 19 maisons vendues à Maniwaki. De plus, il occupe environ 55% des ventes faites par les courtiers locaux. Très fier de ses distinctions, c’est la confiance que ses clients lui accordent
qui le pousse à continuer de travailler fort chaque jour.


































































































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