Page 26 - La Gatineau 11 juin 2015

26 11 juin 2015 LaGatineau
Décès SOUPER POUR LES RATONS DRAVEURS
Mme VALÉDA RIVET
De Maniwaki, est décédée subitement le 3 juin 2015, à lʼâge de 84 ans. Elle était la fille de feu Télesphore Rivet et de feu Aimée Gagnon, lʼépouse de feu Donald Rivet. Elle laisse dans le deuil ses enfants; Marilyn (Claude David),
André (Linda Chalifoux), Raymond (Gaétane Rollin), Yvon (Hélène Fortin), Marc (Ginette Lafrance), Gilles (Lucie Schryer), Suzanne (Michel Langevin), Michel (Nicole Beaudoin) et Isabelle (Pierre Lareau), ses petits-enfants, ses arrière-petits-enfants, ses arrière-arrière- petits-enfants, ses frères: Sonny (Raymonde) et Robert (Pauline), ainsi que plusieurs beaux- frères, belles-sœurs, neveux, nièces, parents et ami(e)s. Elle fut prédécédée par sa petite-fille Karine et le père de ses enfants Tassé Morin. La direction des funérailles a été confiée à la Maison Funéraire McConnery 206 Cartier Maniwaki, QC J9E 1R3 Téléphone 819-449-2626 Télécopieur 819-449-7437 adresse courriel : sympathies@maisonfunerairemcconnery.ca Site Web : www.maisonfunerairemcconnery.ca Le service religieux eut lieu le mercredi 10 juin 2015 à 10h30, en lʼéglise lʼAssomption de Marie, suivi de lʼincinération.
SYLVIE DEJOUY
sdejouy@lagatineau.com
MANIWAKI - Près de 200 personnes ont participé samedi à la soirée bénéfice organisée au profit des Ratons Draveurs, les athlètes olympiques du Centre Jean- Bosco. Une activité préparée à la salle Christ-Roi, dans le cadre de la Semaine québécoise des personnes handicapées, par Guillaume Boisvert, éducateur spécialisé. Pour l’occasion, Pierre-Luc Belval, finaliste de La Voix, a offert un concert, accompagné de Simon Fortin, humoriste de la région, en première partie ainsi qu’à l’animation.
Les Ratons Draveurs, c’est un beau projet qui a été lancé il y a quatre ans. Une quinzaine d’athlètes, encadrés par des entraîneurs bénévoles, évoluent dans trois disciplines : quilles, boccia et curling. Ils s’entraînent tout au long de l’année et participent à deux compétitions par sport par année.
Grâce à leur persévérance, les Ratons Draveurs se sont distingués à plusieurs reprises. Lors des Jeux provinciaux à Pointe-Claire en 2013, ils ont remporté plusieurs médailles dans toutes les disciplines. Ils sont allés à l’été 2014 aux Jeux Olympiques spéciaux nationaux, qui se tenaient à Vancouver : un voyage inoubliable pour les Ratons Draveurs. Cet hiver, aux jeux provinciaux, ils ont remporté une médaille de bronze en curling. Dernièrement, ils ont participé au championnat provincial de quilles. En septembre, ils devraient représenter la région au championnat provincial de boccia.
Les Ratons Draveurs sont donc une fierté régionale. Caroline Lafontaine,
▲ Les Ratons Draveurs avec, au premier plan, Guillaume Boisvert, éducateur spécialisé, et Caroline Lafontaine, coordonnatrice aux sports à Jean-Bosco.
AVIS DE DÉCÈS
Une équipe qui a un bel esprit
coordonnatrice aux sports à Jean-Bosco, est très heureuse de les suivre : «Notre paye, c’est quand ils sont fiers d’eux.» Elle en est convaincue, ce projet apporte énormément à ces personnes qui vivent avec une déficience intellectuelle et/ou physique : «Ça leur apporte tellement de fierté. Ce sont des accomplissements pour eux. Cela favorise l’inclusion sociale, le sentiment d’appartenance en faisant partie d’une équipe, la confiance en eux. Il y a aussi les bienfaits physiques du sport. Je les ai vus changer, ils font beaucoup d’apprentissages, ils se sont épanouis et responsabilisés.»
Parmi les athlètes, Marc-André Charron assure avoir tiré beaucoup de bénéfices de faire partie des Ratons Draveurs : «On est plus connus maintenant. On se fait plein
d’amis. J’aime toute l’équipe.» Serge Fournier est fier d’avoir remporté la première place aux qualifications de quilles à Montréal, avec une moyenne de 107.
Denis Pier Dupuis, malvoyant, a pu apprendre le boccia grâce à une méthode trouvée par Caroline Lafontaine qui voulait absolument lui permettre de jouer. Pas question pour lui que son handicap le laisse sur le banc : «Rester assis et regarder les autres, c’est pas moi ça. Mon but c’est d ’essayer.»
L’objectif du souper était de collecter des fonds afin de permettre aux Ratons Draveurs de participer à des compétitions. Une sortie peut en effet coûter au moins 2 000$.
▲ Gérard Audet, l’un des bâtisseurs de Montcerf-Lytton, qui a beaucoup œuvré au sein de la paroisse, vient de décéder à l’âge de 90 ans. Ses coparoissiens lui ont rendu à dernier hommage.
cimetière Ste-Philomène, dont il a été responsable et pour lequel il a investi beaucoup de son temps afin de le rendre beau et accueillant.
Ses coparoissiens de Montcerf-Lytton tiennent à lui dire «merci et bravo. Aidez- nous, de là-haut, à préserver et perpétuer votre merveilleux héritage, avec autant de fierté, de courage et d’espérance que vous».
AVIS DE DÉCÈS
M. Jacques Marcil
1945 - 2015
Le 2 juin 2015 est décédé
subitement à Montréal,
monsieur Jacques Marcil,
(né à Maniwaki le 4 janvier
1945), époux de Claire
Robitaille et fils de feu
monsieur James Marcil et feu madame Berthe Éthier. Il laisse dans le deuil son fils James (Mélanie Renière et ses enfants Frédéric et Anabelle), sa fille Alexandra (Denis Trudel) ses petits-fils Loïc et Théo Trudel. Il était le frère de Jean-Marc (feu Jacqueline Deschênes), feu Jean-Yves (Irène Thibodeau), Paulette (Vital Brunet), Lisette (feu Royal Déry), Danielle (Patrick Boutin), Marie-Berthe (Marcel Plouffe), feu Bernard, feu Lorraine (Mike Lefebvre), Louise (feu Charles Morneau), Gilles (Anita Payette) et Ginette (Roger Parisien). Il laisse également ses belle-sœurs Suzanne (feu Yvon Bombardier), Judith (George Vlassopoulos) et Jeannine ainsi que plusieurs neveux, nièces et amis.
Une liturgie de la Parole sera célébrée à la résidence funéraire le samedi 13 juin à 17h. La famille vous accueillera ce même jour à compter de 14h à:
Salon funéraire Henri-Guérin Réseau Dignité
425, chemin St-Jean
La Prairie, QC www.dignitequebec.com
NÉCROLOGIE
Hommage à Gérard Audet
MONTCERF- LYTTON - Un grand pionnier et bâtisseur nous a quittés : Gérard Audet est décédé à l’âge de quatre-vingt dix ans.
Arrivé à Lytton avec ses parents à l’âge de cinq ans pour défricher la terre, très jeune il a dû travailler fort avec sa famille car tout était à faire. À cette époque, personne n’était riche. Cela a permis de le former pour l’avenir. Grands croyants, Dieu avait toujours une place privilégiée dans cette noble famille.
Adulte, Gérard Audet a travaillé pour le ministère de la Colonisation, aujourd’hui le ministère des Transports. Il a épousé une jeune fille de la paroisse, Micheline Poulin, qui est devenue maîtresse des petites écoles. Malgré leur travail, ils ont toujours été engagés dans leur paroisse, toujours prêts à rendre service avec une infinie générosité.
À la retraite, Gérard Audet et sa femme quadruplèrent leurs efforts pour raviver la vie communautaire, paroissiale et sociale de Ste- Philomène de Montcerf-Lytton. Grâce à leur engagement, la paroisse Ste-Philomène a réalisé une merveilleuse année de célébrations de son centenaire, ce qui a redonné vie et espoir à la paroisse. M. Audet a été marguiller, président et secrétaire de Fabrique pendant de nombreuses années. Mme Audet s’est investie en pastorale et en liturgie.
Selon Ward O’Connor, conseiller municipal de Montcef-Lytton, «si nous avons toujours notre église si belle et en si bon état, c’est en grande partie grâce à M. et Mme Audet, qui n’ont pas hésité à mettre tous leurs talents et leurs efforts, avec une équipe de bénévoles, à profit pour leur collectivité. Oui, nous pouvons le dire, si l’église Ste- Philomène est toujours active, c’est beaucoup grâce à eux. Par ailleurs, ils ont toujours été d’un accueil sans borne pour tous les pasteurs qui ont œuvré à Ste-Philomène, les traitant comme un membre de la famille. Ces gens de grande foi ne manquaient jamais de la mettre en pratique».
À la retraite, M. Audet a également mis son expérience à profit pour la municipalité de Montcerf en tant qu’inspecteur municipal. Il était un homme des plus positifs, répondait toujours par oui pour faire le bien et venir en aide à ses coparoissiens. C’était un homme d’une grande écoute et d’une discrétion exemplaire.
Lors de ses funérailles, la journée même où il aurait eu quatre-vingt dix ans, les sires Chevaliers de Colomb de l’Assemblée du 4e degré Mgr J.A. Mondoux, dont il faisait partie, l’ont accompagné par une garde d’honneur en son église Ste-Philomène. Ils l’ont accompagné à son dernier repos au
REMERCIEMENTS AU SAINT FRÈRE ANDRÉ
pour faveur obtenue.
P.P.