Page 27 - La Gatineau 20 octobre 2016
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La Gatineau 20 octobre 2016 27 12 000$ au Club des petits déjeuners
CAISSE POPULAIRE DESJARDINS
◀ De gauche à droite : la directrice de la Caisse populaire Desjardins de la Haute-Gatineau, Christiane Carle ; le jeune DG d’un jour Émeric St-Martin ; la coordonnatrice du Club des petits déjeuners dans la Haute-Gatineau, France Boisvenue.
SYLVIE DEJOUY
sdejouy@lagatineau.com
MANIWAKI - Tous les ans, la Caisse populaire Desjardins de la Haute-Gatineau organise, dans le cadre de la Semaine de la coopération Desjardins, un concours dans les écoles de son territoire. Cette année, les enfants devaient répondre à la question «Qu’est-ce que l’école représente pour toi ?» C’est le texte du jeune Émeric St-Martin, en 5e année à l’Académie Sacré-Cœur avec l’enseignante Julie Éthier, qui a été sélectionné. Ce dernier a donc passé une journée, mardi, avec la directrice de la Caisse populaire Desjardins de la Haute-Gatineau, Christiane Carle, en tant que jeune DG d’un jour. Il a pu ainsi découvrir le fonctionnement de la Caisse et, parmi les fonctions qui lui ont été attribuées, il a été chargé de remettre un don de 12 000$ à la coordonnatrice du Club des petits déjeuners dans la Haute-Gatineau, France Boisvenue.
Ces fonds permettront de maintenir le fonctionnement du club dans les différentes écoles de la MRC. «Ainsi, chaque matin, avec la collaboration des parents, des écoles et des bénévoles, les enfants débutent la journée par
Économie et affaires
un solide petit déjeuner avant le début des classes, commente Christiane Carle. La Caisse populaire est fière de contribuer à la réussite d’un tel projet chez nous. Un projet comme le Club des petits déjeuners ne peut se concrétiser sans l’aide de nombreux bénévoles. C’est pourquoi nous tenons à les remercier et nous les invitons à continuer leur engagement auprès de la jeunesse.»
Chaque matin, les bénévoles du Club servent des déjeuners dans 15 écoles et en moyenne à 750 enfants de la région. France Boisvenue lance un appel aux personnes qui seraient intéressées à être bénévoles, notamment à l’Académie Sacré-Cœur et l’école Woodland. À noter par ailleurs que l’organisme, qui existe dans toute la province, ne vit que de dons.
Le texte d’Émeric
À la question, «qu’est-ce que l’école représente pour toi ?», Émeric a répondu que «l’école est une phase de commencement, c’est le début de l’histoire. On apprend des choses pour le futur comme les maths, le français, l’anglais, etc. Tout ça, c’est un point dans l’histoire qui nous amène plus loin. C’est important et ça nous ouvre des portes pour notre avenir».
CONSEIL MUNICIPAL
Non au projet OPTILAB
MANIWAKI - Parmi les points à l’ordre du jour de la réunion du conseil lundi soir, les élus ont notamment adopté une résolution afin de s’opposer au projet OPTILAB de réorganisation des laboratoires, qui ferait en sorte que la majorité des analyses seraient transférée aux laboratoires de Gatineau et de Hull. Une copie de cette résolution sera envoyée au ministre de la Santé Gaétan Barrette, à la députée-ministre Stéphanie Vallée, la MRC et toutes les municipalités val-gatinoises.
Une autre résolution a été adoptée afin de présenter au ministère de la Sécurité publique une demande d’aide financière pour la formation de pompiers à temps partiel. La Ville de
Maniwaki prévoit la formation de plusieurs pompiers pour le programme Pompier 1 au cours de la prochaine année, afin de répondre efficacement et de manière sécuritaire à des situations d’urgence sur son territoire.
Les élus ont autorisé la signature de l’entente entre la Ville de Maniwaki et la MRC de la Vallée-de-la-Gatineau. Elle a pour but de régulariser le transfert de béton armé et non armé et l’asphalte en provenance de la MRCVG à un site appartenant à la Ville, adjacent à l’Écocentre.
Par ailleurs, ils ont autorisé la signature d’un contrat avec Olivier Pilon en tant que préposé aux animaux, suite à la démission de Éric Charette.
VALENTINE ET LA CRÉMIÈRE
Deux nouveaux propriétaires
SYLVIE DEJOUY
sdejouy@lagatineau.com
MANIWAKI - Changement à la tête du Valentine-La Crémière de Maniwaki. Daniel Pelletier et Yves Desjardins sont les nouveaux co-propriétaires. Ils succèdent à Martin Deguire.
«Ça fait 21 ans qu’on opère le Valentine de Mont-Laurier, expliquent-ils. On a saisi l’opportunité de racheter celui de Maniwaki.» Daniel Pelletier connaîssait déjà la région puisque, comme il le précise, «je suis propriétaire de Dicom express à Maniwaki. J’ai travaillé longtemps à Maniwaki et maintenant c’est un de mes employés qui s’en occupe.»
Alors que le Valentine de Mont-Laurier
occupe la première place, l’objectif de Daniel Pelletier et Yves Desjardins est que celui de Maniwaki se hisse parmi les cinq meilleurs Valentine du réseau qui compte 103 restaurants. Pour cela, ils misent sur le service à la clientèle et la qualité des repas.
«On a 21 ans d’opération avec la fran- chise Valentine, 21 ans d’expérience, et on invite les gens à venir nous encourager», commentent les deux propriétaires qui bénéficient par ailleurs d’une bâtisse quasi neuve, propriété de Luc Martel, qui a été construite il y a un peu plus d’un an. «Les gens de Maniwaki sont choyés d’avoir un Valentine comme celui-ci à la fine pointe», précise Yves Desjardins.
Valentine est une chaîne de restauration rapide comptant une centaine de restau- rants au Québec et en Ontario. La chaîne est établie depuis 1979.
▲ Yves Desjardins, co-propriétaire ; Pascale Lamoureux, employée ; Daniel Pelletier, co-propriétaire ; Mélissa Éthier, employée ; Luc Martel, propriétaire du bâtiment. Le restaurant compte sept employés.


































































































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