Page 12 - La Gatineau 18 septembre 2014

12 18 septembre 2014 La Gatineau CLUB DE L’ÂGE D’OR
Don d’un défibrillateur à la communauté
CAYAMANT - Le club de l’âge d’or «Les porteurs de bonheur» a fait un très beau don à la municipalité : un défibrillateur qui a été installé dans la salle municipale, où de nombreuses activités sont régulièrement organisées. Un appareil qui pourrait sauver beaucoup de vies.
«On organise des soirées une fois par mois, explique la présidente du club Léona Mathews. On a donc constitué un fonds qui nous a permis d’acheter ce défibrilla- teur.» Son coût : 2 084$.
Un défibrillateur est un appareil portable dont le rôle est d’analyser l’activité du cœur d’une personne en arrêt cardio-respiratoire. Cette analyse est entièrement automatique, ce qui évite à la personne qui l’utilise toute prise de décision, en particulier si elle n’a pas été formée aux premiers soins.
Les électrodes sont placées sur la peau du patient. Si la machine détecte un rythme choquable, elle permet de délivrer un choc électrique, aussi appelé défibrillation. Cet appareil augmente fortement les chances de survie d’une personne en arrêt cardio-respiratoire.
Au cours des dernières années, de plus en plus de défibrillateurs ont été installés dans des lieux publics, permettant de sauver de nombreuses personnes. Plusieurs milliers victimes d’arrêt cardiaque pourraient être sauvées grâce à un défibrillateur. Les États- Unis mettent plus de 2 millions de défibril- lateurs à la disposition du public, au même titre que des extincteurs.
Le club tient à remercier la communauté de participer aux soirées et activités qu’il organise, ce qui a permis d’amasser assez d’argent pour acheter ce défibrillateur.
Sylvie Dejouy
▲ Les membres du club «Les porteurs de bonheur» avec, de gauche à droite : Ginette Gravel, Léona Mathews, Jo-Anne Pelletier, Violaine St-Amour, Lise Blais, Lise Crêtes, Jocelyne Cousineau. Absents : la mairesse Chantal Lamarche, le chef des pompiers Dany Aubé, Monique Landers membre du club de l’âge d’or.
BENJAMIN WOODMAN Candidat conservateur
LA GATINEAU - Alors que des élections fédérales se tiendront en 2015, Benjamin Woodman s’est déclaré candidat à l’investiture pour le Parti conservateur du Canada dans le comté de Pontiac.
Né en mars 1984, Benjamin Woodman a été élevé à Shawville, au Québec, où il a passé toute son enfance. Il détient un diplôme d’études collégiales (DEC) en Sciences sociales du Collège John-Abbott et un bacca- lauréat en Sciences politiques de l’Uni- versité de Concordia.
Benjamin Woodman s’appuie sur 5
ans d’expérience en politique fédérale, dont au sein du bureau du Premier ministre Harper. «J’ai été exposé au monde politique par mon père avec qui je faisais du bénévolat lors de diverses élec- tions fédérales et provinciales, explique-t-il. J’ai plusieurs années d’expérience de travail sur la Colline parlementaire, dont dans le bureau d’un député fédéral, le bureau du Premier ministre et dans le cabinet de deux ministres des Anciens combattants.»
C’est à titre de stagiaire dans le bureau du député Greg Kerr, de Nova-Ouest en Nouvelle-Écosse, que Benjamin Woodman a commencé sa carrière politique. «Félicité pour mes accomplissements, j’ai été nommé deuxième meilleur stagiaire parmi plus de 110 personnes», précise-t-il.
Par la suite, il a rejoint l’équipe de gestion des enjeux au bureau du Premier ministre et plus tard l’équipe de conseillers politiques au cabinet du ministre des Anciens combat- tants. Il a d’ailleurs reçu une médaille du
▲ Benjamin Woodman est candidat à l’investiture pour le Parti conservateur du Canada pour le comté de Pontiac.
jubilé de diamant de la Reine Elizabeth II pour son travail au sein de la communauté des anciens combattants.
Benjamin Woodman est également membre de la Réserve des Forces armées canadiennes et a été nommé recrue de l’an- née par son bataillon lors de sa première année de formation. Aujourd’hui, il vit dans le quartier d’Aylmer avec sa famille et il est récemment devenu père d’une petite Chloé.
«Depuis l’annonce de mon intention de briguer l’investiture en avril dernier, j’ai rencontré des centaines de résidents du Pontiac, soit lors d’événements locaux ou en faisant du porte à porte», assure le candidat.